Viols aux Provençales
J’ai rédigé ce manuscrit suite à une expérience traumatisante vécue par ma mère dans sa jeunesse. Aujourd’hui retraitée, son histoire m’a profondément bouleversé, et j’ai souhaité la transposer dans un livre. Ce livre concerne tout le monde mais il s’adresse principalement à un public jeune, car il aborde les défis auxquels ils peuvent être confrontés aujourd’hui, que ce soit en sortant en boîte de nuit ou en acceptant des trajets de la part d’inconnus.
Je vous propose de participer à la naissance de mon livre en m’aidant à faire de sa parution prochaine avec les Éditions Maïa, un succès. Plus les préventes seront nombreuses, plus il sera promu et diffusé. En retour, vous y graverez votre empreinte et y serez mentionnés en page de remerciements (selon accord). Vous recevrez ainsi le livre en avant-première, frais de port inclus !
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Maryse Durand, une jeune adolescente provinciale perturbée par les sombres déboires sentimentaux de sa mère Sylvie, alcoolique, rêve de gloire et de fortune à Hollywood. Souhaitant ardemment percer dans le show business, quand Philippe de Santi, un Italien venant de Paris pour la rencontrer en personne, lui propose de dîner, elle voit alors peut-être son rêve devenir réalité. Il lui fait de nombreuses propositions et achète son silence à prix d’or.
Phil est un macro. Il met Maryse sur le trottoir à sa majorité, profitant de sa crédulité. Le type est aidé par deux bandits : Claude Richard et George Collard. D’abord inconnus les uns des autres, ils vont rapidement devenir amis et travailler ensemble. Finalement, Maryse se retrouve en prison après avoir cherché à se venger, car sa fille Marie, devenue majeure bien plus tard, est elle aussi violée par ces hommes. Ces derniers sont condamnés à l’exil dans d’autres pays. Ils sont bien loin, les rêves de Maryse et de Marie. L’amour triomphera-t-il des épreuves auxquelles elles sont condamnées à traverser ?
Extrait de Viols aux Provençales par Richard Bouskila
« Maryse reste debout, haletante, le poing fermé, le visage serré, elle se rapproche de son ennemi. Soudain, celui-ci dégaine et menace la femme d’une arme. C’est une sorte de kalachnikov avec l’intention de le lui faire sauter la tête. Heureusement pour elle, la police arriva, mais le type s’enfuit. Maryse est tétanisée et apeurée, elle sentit la braguette baissée du type qui avait tenté de la violer avant de vouloir la tuer, car elle refusera de se laisser faire. Le scénario ne colle pas aux yeux de la police, qui préfère s’en tenir aux échantillons des preuves ADN et de tout support laissé par mégarde lors de la tentative d’homicide volontaire. Le type avait quitté les lieux sans prendre sa voiture. Il ne devait pas être bien loin, mais lorsqu’il prit la fuite, il appela immédiatement des renforts, des hommes costauds, gros comme des maisons, pour récupérer leurs armes et leurs véhicules afin de venir chercher l’individu, qui semblait certainement travailler pour la mafia ou les services secrets. Quoi qu’il en soit, la violente altercation entre Maryse et cet individu demeura gravée dans la mémoire de tous.
La police prit les empreintes de Maryse ainsi que des photos d’elle, et c’est elle qu’on plaça en garde à vue pour l’interroger, car on la soupçonnait de schizophrénie. Le scénario de la femme en effet ne collait pas, car auparavant, elle se souvenait d’avoir perdu quelque chose chez elle en rentrant, et le suspect aurait fait mine de la suivre. Les causes restaient toujours inconnues, mais selon les inspecteurs, le mobile ne correspondait pas.
– « Venez madame, on va vous raccompagner chez vous. En attendant, je vous invite à ne pas quitter la ville et à rester à disposition de la police.
– Bien-sûr, monsieur », répondit-elle lorsqu’elle tomba dans les bras de sa mère qui avait foiré sa sobriété.
Les amis à Maryse apprirent l’histoire et furent inquiets. Ils arrivèrent comme un cheveu sur la soupe. La jeune femme comprit qu’elle était de trop, mais elle appela à l’aide et raconta tout ce qui s’était passé autour d’une tasse de déca. La petite famille s’offusque.«
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Les étapes de la création
L'objectif de cette campagne est d'atteindre 990 € de préventes, qui participeront à la réalisation des maquettes, à la correction, à l'impression et à la promotion du livre. Auteur(rice), lecteur(rice) et amoureux(se) des mots, votre collaboration est valorisée pour faire de ce projet tant attendu, une réalité, grâce à l'équipe professionnelle des Editions Maïa. En précommandant, vous gravez votre empreinte dans cette œuvre originale et y inscrivez votre nom*. Vous recevrez vos contreparties dès la fin de la campagne de prévente.
*selon votre accord