RETOUR DU MONDE
Un même nom mais deux prénoms, une collaboration entre père et fils qui vont se livrer à une joute littéraire où chacun essaiera d’amuser et de toucher l’autre, une partition écrite principalement à 4 mains mais où, quelques chroniques seront écrites par des amis venus partager un petit morceau de notre voyage autour du monde « Fredo pour le Népal », « Camille pour l’Afrique du Sud », par mon autre fils « Yoan pour la Nouvelle Zélande » et par mon épouse « Agnès pour Hong Kong et une chronique sur la Bolivie ».
Un même voyage mais deux visions et deux sensibilités dues notamment à notre différence d’âge. Pas écrivains mais conteurs d’histoires, pas philosophes mais passeurs d’émotions et observateurs, le temps d’un voyage, d’un monde qui parfois ne tourne pas toujours très rond.
De commun, nous avons l’amour des autres, du sport, de la musique, de la bière, des voyages et la détestation de l’intolérance et de la cruauté.
Nous avons toujours cru en nos rêves et nous espérons que grâce à votre collaboration nous pourrons en réaliser un de plus.
Nous vous proposons donc de contribuer à la naissance de notre livre et de devenir nos partenaires privilégiés pour faire aboutir ce projet. En tant que contributeur, votre nom sera présent dans le livre que vous recevrez en avant-première.
Nous nous engageons également à reverser la moitié de nos droits d’auteur à L’association « Parrains et Marraines pour le Népal » crée en 2007 sous l’impulsion de Dawa Dachhiri Sherpa, coureur d’ultra-trail népalais.
À Travers ce livre, nous avons voulu raconter avec humour et tendresse, l’histoire de notre petite fugue autour du monde réalisée en famille (Agnès, Margot, Jordan et Greg) entre 2014 et 2015.
Dans ces périodes confinées et masquées, nous aimerions, vous apporter un grand bol d’air frais et vous entrainer avec nous à la découverte d’horizons lointains ; des étendues glacées du Parc Torres Del Paine au Chili, aux plus hauts sommets himalayens en passant par la jungle indonésienne de Sumatra, du désert blanc du Salar de Uyuni en Bolivie, aux lacs aux eaux turquoise et aux cascades impétueuses du Parc de Jiuzhaigou en Chine.
Dans 20 ans, vous serez plus déçu par les choses que vous n’avez pas faites que par celles que vous avez faites. Alors sortez des sentiers battus. Mettez les voiles. Explorez. Rêvez. Découvrez (Mark Twain)
Extrait
Margot tient absolument à visiter le musée où est exposé le corps congelé d’une jeune fille inca de treize ans retrouvée sur un glacier et prénommée « Juanita ». Elle veut comprendre pourquoi, à treize ans, on peut être sacrifiée par son peuple pour qu’il puisse vivre en paix sans que les parents ne se révoltent.
Je suis également très intéressé par la visite et demande à notre charmante guide si elle ne connaîtrait pas un inca qui pratique encore ce genre de rituel car j’ai deux enfants que je suis prêt à sacrifier, pour avoir également la paix…
Après huit heures d’effort nous parvenons enfin à destination, effectivement l’endroit s’avère idyllique. Cette oasis de fraîcheur contraste dans ce canyon aride qui, pour votre culture personnelle est le deuxième canyon le plus profond du monde.
Un jardin d’Eden avec des fontaines où coulent de la bière, servie par des anges en tenue d’Eve. Une de ces charmantes créatures, qui dort à mes côtés, me tape sur l’épaule.
Je me retourne pour répondre une nouvelle fois à ses avances et me retrouve face à Abel, notre guide qui me dit qu’il est 3 heures du matin et qu’il est l’heure de repartir. C’est parti pour seulement trois kilomètres avec 1000 mètres de dénivelé mais cette fois positif.
Jordan et Fantine partent devant avec Abel et je reste avec Margot qui, au bout de cent mètres, commence à se plaindre du ventre. Elle a dû prendre un coup de chaud en descendant hier. Heureusement le cerveau n’est pas touché grâce à sa tête pleine d’eau.
Au bout de trente minutes et après un troisième « gerbouilloux », le guide me dit qu’il faut appeler « Mule 24 ». Un service local qui vous livre une mule en moins de 24 minutes. Quand il m’annonce le prix, je lui demande s’il n’existe pas quelque chose de moins cher, du genre « sacrifice 12″…
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En parlant de café justement, les « Ju » nous ont parlé du « kopi luwak » Indonésien, le café le plus cher au monde (environ 800 € le kilo). Kopi signifie café en indonésien et luwak désigne le nom d’une civette (petit mammifère carnivore). Cette dernière ingère les grains de café, puis on les récupère dans leurs excréments pour faire ce fameux café.
Très intéressé par ce procédé, j’envisage très sérieusement, à la rentrée, de quitter mon boulot pour me lancer dans la production d’un café similaire mais d’une gamme supérieure.
Il me suffira de faire ingurgiter à Agnès des capsules Nespresso ® dont elle est friande, lesquelles après digestion et défécation, produiront une gamme de café à la saveur inégalée et à laquelle j’ai déjà trouvé un nom « le Kakafé ».
What else !! Me direz-vous et pourquoi ne pas faire manger aux enfants des chocapics ® qui deviendront par le même procédé des “Kakapics” de grande qualité.
Pour ma nouvelle activité, j’envisage la création d’emplois de récolteurs et de trieurs. Si vous êtes intéressés, vous pouvez déposer vos CV sur notre blog. Pour la période estivale, je peux même embaucher vos enfants, aucune expérience professionnelle n’est requise et il est toujours intéressant de leur faire pratiquer un boulot de « merde » pour les remettre au travail à l’école.
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Les étapes de création
Mon objectif est d'atteindre 990 € de préventes afin de rendre possible la réalisation des maquettes, la correction, l'impression et la promotion. C'est pourquoi je fais appel à vous, auteurs, lecteurs et amoureux des mots ! Votre précommande permettra à mon projet de devenir réalité grâce à une équipe de professionnels. Votre appui me sera précieux et vous recevrez vos contreparties dès la fin de la campagne.