Reptilia, le venin de la vengeance
Né à Lyon, je vis à Grenoble. Enseignant en éducation socioculturelle pour le ministère de l’Agriculture, mon appétit insatiable pour la musique m’a poussé à animer des émissions de radio, à organiser des concerts et à réaliser de nombreux projets avec mes élèves.
Je suis l’auteur de quatre romans. Mon dernier ouvrage La dame du Charmant som a obtenu le prix du Jury du Salon du livre d’Ébreuil et a été sélectionné au festival de Cabourg sous la présidence de Bernard Pivot.
Je fais aujourd’hui appel à vous pour réaliser ensemble ce projet d’édition. Je vous propose de contribuer à la naissance d’un livre et de devenir partenaires de cette création. Votre nom en tant que contributeur sera présent dans le livre que vous recevrez en avant-première !
J’ai voulu écrire un thriller d’espionnage féministe loin des clichés avec une jeune femme forte et déterminée, parler du conflit des Balkans des années 90 et de la mafia serbe, interroger sur la violence et sur « l’effacement » de la mémoire.
Ce livre ferait un bon film avec de multiples rebondissements. Il est écrit dans un langage simple et accessible, le plus proche possible du parlé… Il aborde un sujet original : la traque des criminels de guerre reconvertis dans le crime. Les personnages ne sont pas manichéens.
« Une jeune femme s’éveille dans la chambre d’un hôtel. Elle n’a plus aucun souvenir de ce qui lui est arrivé la veille. Engourdissement, incompréhension. Qui l’a enlevée ? Pourquoi ? Un journaliste se voit confier un mystérieux dossier. La seule façon de repousser leur désespoir, de lutter est de remonter dans le temps, d’errer dans les corridors de leurs mémoires et de chercher à comprendre en allant de piste en piste pour tenir en laisse la folie et jouer la musique de leur survie. »
La traque sur criminel de guerre issu de la mafia serbe et arme de destruction via une maladie mortelle provoquant une dégénération brutale des organes vitaux en quelques jours agit tel un cancer foudroyant.
« Mon nom est Vincent Henry, je suis retraité de la gendarmerie nationale et sur le point de mourir. Ma maladie me ronge, m’affaiblit et je jette mes dernières forces dans la bataille, car c’est bien de cela qu’il s’agit. Une bataille dans une guerre contre le mal et une lutte pour établir la vérité.
Or, cette vérité est bafouée dans une affaire qui n’a cessé de me tourmenter depuis plus de vingt ans. Les horreurs dont j’ai été témoin à cette époque n’ont pas cessé et malgré mes efforts, j’ai peur que l’esprit criminel ne triomphe encore et encore. Dès le début de ma maladie, j’ai alerté sur la dangerosité de ces individus. Je n’ai rencontré que mépris et dérision de la part de ma hiérarchie. J’ose espérer que ma mort leur ouvrira enfin les yeux sur la nature de mes bourreaux. Je ne peux pas blâmer mes chefs pour leur aveuglement. Je comprends leur attitude. Les crimes de certains êtres humains dépassent parfois l’entendement. Il m’est impossible d’oublier le moment où cette histoire a débuté. On était à la fin du siècle dernier et la guerre faisait rage en Europe pour la première fois depuis 1945. Une nation se suicidait sous nos yeux. Leurs habitants unis autrefois sous l’appellation de Yougoslaves se battaient soit pour leur indépendance, soit pour rester un État fédéral. Serbes, Croates, Bosniaques, Kosovars, Macédoniens dansaient tous les jours avec la mort. Aux journaux télévisés, des philosophes, des écrivains fustigeaient notre impuissance. Des termes radicaux et inquiétants comme ceux d’épuration ethnique faisaient la une. Des images de villes en ruine et de victimes des snipers colonisaient notre quotidien. J’avais cinquante ans et constamment vécu avec la conviction que plus jamais de telles atrocités ne seraient possibles de ce côté-ci du monde. On m’avait inculqué cette croyance dès l’enfance. On nous avait enseigné à l’école les massacres des nazis en nous répétant “plus jamais”. J’avais lu des livres, vu des films sur la Seconde Guerre mondiale. J’avais essayé de comprendre ce qu’était un génocide. J’avais étudié ses mécanismes diaboliques. Je m’étais engagé dans l’armée pour servir mon pays et empêcher la tragique répétition de l’Histoire. Et voilà qu’elle bégayait. »
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Les étapes de création
Mon objectif est d'atteindre 990 € de préventes afin de rendre possibles la réalisation des maquettes, la correction, l'impression et la promotion. C'est pourquoi je fais appel à vous, auteurs, lecteurs et amoureux des mots ! Votre précommande permettra à mon projet de devenir réalité grâce à une équipe de professionnels. Votre appui me sera précieux et vous recevrez vos contreparties dès la fin de la campagne.