Que ma blessure te soit mortelle
De formation littéraire et juridique, avec un parcours professionnel auprès de décideurs économiques et politiques, Bernard ATTAL a toujours apprécié les questions d’organisations de méthodes, dans le milieu socio-économique.
Le roman, est certainement la forme actuelle (le temps n’étant plus aux fables), pour faire passer ses idées, vis-à-vis d’un problème majeur de société, pourrissant notre vie collective : le fanatisme religieux et son corolaire le terrorisme au quotidien.
À mi-chemin entre la littérature classique et les ouvrages des analystes politiques, ce projet ce veut être un pavé dans la marre…
Je vous propose d’être acteur de la naissance de mon livre en m’aidant à faire de sa parution prochaine, avec les Editions Maïa, un succès. Plus les préventes seront nombreuses, plus mon livre sera promu et diffusé. En retour, vous serez présents dans le livre en page de remerciements et vous recevrez le livre en avant-première, frais de port inclus !
La société française se trouve empêtrée dans ses banlieues, face à l’incompréhension de sa jeunesse issue de l’immigration. Le creuset d’intégration sociale ne fonctionne plus et les Français risquent à terme de ne plus vivre côte à côte, mais face à face : l’explosion n’est plus loin…
Face à ce constat, partagé de tous, les décideurs de tous rangs pensent avoir tout essayé.
Pourtant la solution de valeurs par ailleurs clairement illégales, mais ayant déjà fait leurs preuves ailleurs, est-elle encore possible ?
La forme romanesque permet d’entrer dans le sujet à la manière d’un narrateur et non d’un sociologue donneur d’idées et de leçons, toutes inopérantes à se jour !
Participer et accompagner cette expérience littéraire, c’est d’abord passer un agréable moment de lecture
C’est aussi régler différemment ses modes de réflexions pour s’ouvrir des horizons nouveaux. C’est enfin apporter une pierre à l’édifice, du respect des différences et du vouloir-vivre ensemble, dans la paix et l’harmonie.
Destiné à tous les publics du fait de son format de vulgarisation, ce roman s’inspire à la fois des feuilletons d’antan et du style polar.
En conclusion, pas de prise de tête sur un sujet crucial de société, mais plutôt une prise de conscience nouvelle, sur fond de Corse idéalisée et de métropole asphyxiée par les conséquences du fanatisme religieux.
Extrait
Les militaires de la force sentinelle, venaient une fois de plus de faire l’objet d’un abject attentat, aux portes de la capitale à quelques centaines de mètres à peine, du siège de l’antiterrorisme. Un véhicule fou, piloté par un faible d’esprit se prétendant intervenir au nom de son dieu, avait roulé d’abord très lentement en direction d’une dizaine de soldats, puis avait brusquement accéléré en les rasant puis en fauchant sévèrement trois et en renversant le reste …
Le compteur des vies humaines perdues d’un côté comme de l’autre, ne cessait de scorer, laissant présager « de bien pires résultats » dans les prochaines années.
Nous ne vivions plus côte à côte, mais face à face …
L’hydre fou du fanatisme religieux islamique, infusait pernicieusement. La société comptait plus de sept millions de personnes se réclamant de ce culte, paisible à la base et pas terroriste pour un sou. Toutefois les laissés pour compte et les parias se comptaient par dizaines de milliers et se fourvoyaient dans cette direction et sa version extrémiste. Le piège s’était lentement mais surement refermé sur la société française tout entière, la rendant progressivement ingouvernable.
Certains quartiers de grandes agglomérations étaient devenus des zones de non droit où prospéraient des commerces illicites associés au trafic de la drogue. Les administrations, les commerces, les services médicaux et maintenant les pompiers et les forces de l’ordre désertaient à leur tour, ces lieux de malheur, où la mort rodait…
La délinquance, tous niveaux confondus, progressait tellement que les dispositifs nationaux d’internement étaient devenus insuffisants et inadaptés aux condamnés. Ces derniers ne pouvaient plus matériellement et classiquement purger leur peine, dans un centre de détention. L’exception devint progressivement la règle, les bracelets électroniques permirent de les circonscrire dans des périmètres « de sécurité », sans pour autant les empêcher de continuer à fourbir leurs armes …
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Les étapes de création
Mon objectif est d'atteindre 990 € de pré-ventes afin de rendre possible la réalisation des maquettes, la correction, l'impression et la promotion. C'est pourquoi je fais appel à vous, auteurs, lecteurs et amoureux des mots ! Votre précommande permettra à mon projet de devenir réalité grâce à une équipe de professionnels. Votre appui me sera précieux et vous recevrez vos contreparties dès la fin de la campagne.