Quelles qu’en soient les conséquences
Je m’appelle Vanessa Martinaux, j’ai 37 ans. J’ai toujours aimé l’art en général, la peinture, la musique, l’écriture. Depuis toute jeune, j’ai souvent commencé à écrire des histoires, des petits récits mais en les relisant, je ne les trouvais jamais assez bien et ils finissaient toujours à la poubelle. Et puis j’ai persévéré jusqu’à l’aboutissement de ce premier livre.
Je fais aujourd’hui appel à vous pour réaliser ensemble ce projet d’édition. Je vous propose de contribuer à la naissance d’un livre et de devenir partenaires de cette création. Votre nom en tant que contributeur sera présent dans le livre que vous recevrez en avant-première !
Il m’a fallu beaucoup de courage pour envoyer une première version de mon texte à mes amies et à ma sœur, ça a été le moment le plus difficile de toute cette aventure. Et finalement à l’unanimité, elles ont beaucoup aimé et m’ont encouragée à poursuivre, ce que j’ai fait et dont je suis fière aujourd’hui.
Dès le début de mon récit, le lecteur peut sentir la sensibilité de mon personnage, Eléa, une jeune femme brisée par un drame familial et prête à tout pour venger le suicide de son père. Au fil des pages, Eléa nous emmène dans sa folie de vengeance, dans l’élaboration de son plan pour y parvenir. Les nombreux rebondissements tiennent en éveil la curiosité du lecteur jusqu’aux dernières lignes.
Ce personnage ne peut vivre qu’au travers de votre lecture, les émotions qu’elle dégage font d’elle quelqu’un d’attachant et que l’on a envie de suivre. J’espère qu’elle vous fera rire, pleurer, douter, craindre, qu’elle vous plongera dans ses délires.
« Le point de départ de tout ça, de tous les malheurs qui s’étaient accumulés dans ma vie et qui m’empêchaient aujourd’hui d’être heureuse, c’était le licenciement de mon père. Ça avait été l’élément déclencheur de tout ce qui avait suivi. Tout ça, c’était la faute du patron de mon père qui l’avait viré comme un malpropre après vingt-cinq années de services rendus. Comment cet homme pouvait-il encore se regarder dans un miroir ? Comment pouvait-il continuer à vivre comme si rien ne s’était passé. Pourquoi pouvait-il encore être heureux alors que ma famille était partie en fumée. Il n’avait pas le droit de vivre comme si rien ne s’était passé. Et ces pensées incessantes me tourmentaient de plus en plus au fil des semaines. Elles commençaient à m’obséder et à m’empêcher de dormir et de respirer. Jusqu’à m’empêcher de vivre.
Au point qu’un jour, à bout de nerfs, je pris cette terrible décision. Puisque je n’avais pas d’autres recours, je me ferais justice moi-même. Cet homme allait souffrir, j’allais le faire souffrir, il ne s’en sortirait pas si facilement. Je voulais l’anéantir, qu’il se sente aussi mal que moi, qu’il perde tout ce qu’il a de plus cher. Je vengerais mes parents, quelles qu’en soient les conséquences, vu que ma vie, il l’avait gâchée de toute façon. Je ne pourrais plus jamais aimer sans craindre la perte de l’être cher. Je savais trop bien que tout peut s’arrêter subitement, et je ne pourrais plus vivre sereine et heureuse, insouciante, auprès de quelqu’un en sachant qu’on a tous cette épée de Damoclès au-dessus de notre tête et qu’elle tombe n’importe quand sans crier gare, mais qu’elle tombe de manière irrévocable et imprévue.
Il me fallait établir un plan et trouver un moyen d’approcher cette pourriture pour lui nuire, pour pouvoir faire que sa vie à lui aussi soit anéantie, réduite à zéro, et qu’il souffre, autant que moi. »
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Les étapes de création
Mon objectif est d'atteindre 990 € de préventes afin de rendre possibles la réalisation des maquettes, la correction, l'impression et la promotion. C'est pourquoi je fais appel à vous, auteurs, lecteurs et amoureux des mots ! Votre précommande permettra à mon projet de devenir réalité grâce à une équipe de professionnels. Votre appui me sera précieux et vous recevrez vos contreparties dès la fin de la campagne.