Prisonnière d’une apparence
Dave Labertine Mouhoumounou Boutoto épouse Boleko, auteure d’un premier roman intitulé et si c’était trop tard ? paru aux lys bleu éditions, je me suis lancée dans l’écriture de mon deuxième roman qui est prisonnière d’une apparence.
Dans cette perceptive de traiter les sujets qui minent notre société en les plongeant dans une bonne dose de suspense, ce deuxième roman n’y a pas échappé.
Prisonnière d’une apparence est classé dans la catégorie « quantum scandola » dans cette particularité à ne pas laisser le lecteur en paix tout au long de sa lecture.
Je vous embarque alors dans l’histoire de Kitoko le personnage principal… Il vous suffira d’attacher vos ceintures et de faire ce long voyage. Il y aura de la sérénité, des zones de turbulences, de rires, de la tristesse et surtout des faits inattendus.
Je souhaite que votre atterrissage puisse être paisible et que vous ayez envie de reprendre le même vol une seconde fois.
Je vous propose d’être acteur de la naissance de mon livre en m’aidant à faire de sa parution prochaine, avec les Editions Maïa, un succès. Plus les préventes seront nombreuses, plus mon livre sera promu et diffusé. En retour, vous serez présents dans le livre en page de remerciements et vous recevrez le livre en avant-première, frais de port inclus !
Synopsis
« Ce billet est semblable à ta beauté. Beau à voir, mais n’ayant aucune valeur »
C’est exactement le message que Kitoko a lu sur le faux billet qu’elle a trouvé au tréfonds de son sac après avoir quitté l’aéroport de Paris-Charles de Gaulle pour l’aéroport international Maya-Maya de Brazzaville. Ses bagages ont été échangé et elle va à leurs quêtes en étant consciente qu’une personne a voulu lui faire du mal. Sur ce chemin Kitoko fait des rencontres, celles qui font d’elle cette femme inarrêtable mais elle en veut plus, se dit mériter une vie de bourgeoise… Puis elle fait la rencontre d’un homme, le seul qui a été indifférent à l’égard de l’immensité de sa beauté. Interloquée, elle se venge en voulant lui soutirer son argent. Des souvenirs terrifiants lui reviennent… Qui est donc cet homme ?
Puis elle sera malmenée par de nombreuses images qu’elle vit au présent lui rappelant son passé dont elle ne se rappelle pas avoir vécu. Comment cela est-il possible ?
Si pour Kitoko : avoir un beau visage garantit un bel avenir, jusqu’où serait-elle capable d’être fidèle à cette conviction ?
Extrait
Kitoko est mon prénom, il signifie beau ou belle en lingala. Vous l’aurez compris, je suis la beauté, celle-là qu’on se retourne pour admirer une énième fois. Je suis l’image, celle qui fascine, captive et provoque un sourire niais. Je suis la voix tonitruante mama na ngai*, quand l’on croise mon regard pour la première fois. Je suis le parfum envoutant dont la senteur s’exhale sur un vêtement après m’avoir effleuré. Je suis celle qu’on n’oublie pas, je suis des souvenirs, surtout les plus glaciales.
Je ratifie avoir fait de ma beauté un terrain glissant, fructueux et dangereux, mais avant de vous en dire plus, laissez-moi vous faire une confidence, une seule et je n’en dirai pas plus jusqu’à ce que j’arrive hasardement à vous faire confiance :
Sous cette apparence de femme fatale, je suis comparable à un livre dont la belle couverture cache des pages à moitié vides, des paragraphes pleins de fautes, bref le contenu d’un livre peu attrayant.
Pour me consoler ? Je me contemple dans une glace. Pour mon avenir ? Je fais de ma beauté un métier. Pour cicatriser de mes blessures les plus abyssales ? J’essaye de me souvenir de mon passé flouté. J’y vois quelques images flagrantes qui accentuent ma soif de vengeance et forge mon caractère. J’aimerais en savoir un peu plus, hélas je me heurte en chemin.
J’ai une main de fer dans un gant de velours, je suis aussi tenace, pire que du béton.
Rassurez-vous, je ne suis pas aussi belle que dangereuse, je suis juste victime de cette beauté qui me sert d’appât et qui peut me détruire en même temps.
Mais je n’ai pas à me plaindre, je suis déjà tombée dans ce piège, que dis-je ? dans cette prison.
Malgré ces fers qui me condamnent, je ne peux que crier espoir car peut-être qu’un jour je m’évaderai…
*mama na ngai : synonyme d’étonnement.
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Les étapes de création
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