Meurtres à l’hôpital

« Les (nouvelles) enquêtes du Commissaire Blanchard de la Brigade criminelle »
de Georges Soubeyran

Après 42 ans en milieu hospitalier, en tant qu’infirmier puis cadre infirmier urgentiste, une expérience humaine hors du commun a enrichi ma mémoire de nombreux souvenirs et anecdotes. Romancier dans l’âme, j’ai décidé de situer l’intrigue de mon premier roman policier à l’hôpital, dans le monde mystérieux de la nuit.

Je vous propose de participer à la naissance de mon livre en m’aidant à faire de sa parution prochaine avec les Éditions Maïa, un succès. Plus les préventes seront nombreuses, plus il sera promu et diffusé. En retour, vous y graverez votre empreinte et y serez mentionnés en page de remerciements (selon accord). Vous recevrez ainsi le livre en avant-première, frais de port inclus !

Retrouvez Georges Soubeyran sur Instagram ou sur Facebook ou sur LinkedIn.

990,00 de préventes
26 Contributeurs
Préventes :
100.00%
Objectif : 990,00
Minimum amount is € Maximum amount is €
Creator
1 Projet(s)

Plongez dans un roman policier original et captivant, sombre à souhait, où suspense, indices et fausses pistes se conjuguent avec une touche d’humour. L’intrigue principale se déroule la nuit à l’hôpital Saint-Louis à Paris en 1988, offrant un cadre unique et mystérieux. Une seconde énigme, remontant à l’Indochine de 1952, vient interférer avec l’enquête du Commissaire Blanchard de la Brigade criminelle, l’emmenant jusqu’aux tréfonds de méandres mafieux.

Fans de polars et de thrillers, soignants, curieux, préparez-vous à une aventure littéraire palpitante où chaque page vous tiendra en haleine. Découvrez un monde où le passé et le présent s’entrelacent pour révéler des secrets enfouis, et venez me rejoindre dans cette expérience, première d’une série à venir.

Extrait de Meurtres à l’hôpital : « Les (nouvelles) enquêtes du Commissaire Blanchard de la Brigade criminelle »  de Georges Soubeyran

… Dans le repaire enfumé du café à l’angle de la rue Dauphine et de la rue Christine, « Chez Jo », le QG des policiers de la Brigade Criminelle fourmillait d’activité nocturne.
Tous les nuiteux s’y retrouvaient. Accoudés au bar, les habitués se régalaient de leur blanc-cassis matinal, bière ou autre blanc sec, tandis que des œufs durs veillaient sur eux depuis les présentoirs posés à chaque bout du vieux comptoir en zinc ; ils s’en rempliraient l’estomac avant d’entamer leur longue journée de labeur.
François Blanchard observait la vieille pendule murale Cinzano, son regard se perdant dans le tic tac qui rythmait la fin de la nuit. – Encore une heure !
Dans un coin à peine éclairé par une loupiote vacillante, un couple d’amoureux s’enlaçait sur une banquette en Moleskine d’un rouge passé, écoutant un blues larmoyant qu’égrenait le Juke box.
La nuit avait été mouvementée, marquée par des affrontements violents près du canal Saint–Martin. Deux bandes, des Zoulous et des Rockabilys s’étaient affrontés, laissant derrière elles un sillage de blessures et de sang, des couteaux et machettes ayant fendu des crânes, découpé des doigts. Certains protagonistes avaient fini leur nuit aux urgences de l’hôpital Saint-Louis, d’autres derrière les barreaux, en garde à vue au Commissariat du 10e arrondissement.
Plus tard, un appel avait mené Blanchard et son équipe à l’« Hôtel du Nord », où un drame s’était joué : un pauvre gars s’était jeté par la fenêtre d’une chambre au quatrième étage ; la porte était verrouillée de l’intérieur. Son lit était fait proprement et ses affaires bien rangées ; sur sa table de nuit, un calepin en cuir rouge et des lunettes pliées témoignaient d’une vie ordonnée, interrompue brutalement. D’après le tenancier, le client arrivé la veille avait payé d’avance pour une seule nuit. En fin d’après-midi il avait passé un coup de téléphone, qui s’était fini par une violente dispute ; la mine sombre, il était remonté dans sa chambre, d’où il n’avait plus bougé, jusqu’à ce matin, pour aller embrasser le macadam quatre étages plus bas.   …

Précédente publication

  • Confidences courtoises, sous le nom d’auteur Georges Souleyrac

Contreparties

12,00
- Le livre en format numérique
- Votre nom de contributeur dans le livre
0 contributeurs
20,00
- Un exemplaire papier
- Une dédicace en avant-première
- Votre nom de contributeur dans le livre
13 contributeurs
30,00
- Un exemplaire papier
- Une dédicace en avant-première
- Le livre en format numérique
- Votre nom de contributeur dans le livre
4 contributeurs
49,00
- Un exemplaire papier
- Une dédicace en avant-première
- Un second exemplaire à offrir à la personne de votre choix
- Le livre en format numérique
- Votre nom de contributeur dans le livre
6 contributeurs
79,00
- Un exemplaire papier
- Une dédicace en avant-première
- Deux autres exemplaires à offrir aux personnes de votre choix
- Le livre en format numérique
- Un remerciement spécial au contributeur en couverture du livre
- Une rencontre avec l'auteur
3 contributeurs
  • Les étapes de la création

    L'objectif de cette campagne est d'atteindre 990 € de préventes, qui participeront à la diffusion et à la promotion du livre lors de son édition officielle. Auteur(rice), lecteur(rice) et amoureux(se) des mots, votre collaboration est valorisée pour faire de ce projet tant attendu, une belle réussite, grâce à l'équipe professionnelle des Editions Maïa. En précommandant, vous gravez votre empreinte dans cette œuvre originale et y inscrivez votre nom*. Vous recevrez vos contreparties dès la fin de la campagne de prévente.

    *selon votre accord