Méditerranée, la mer qui ne voulait pas mourir : témoignages !
Vivre sur ses rives de la Méditerranée, aller à la rencontre de ses fonds marins et travailler à sa protection ne peut pas vous laisser indifférent sur son devenir. Je ne le suis pas. Ce livre est un devoir de mémoire, un témoignage et un message d’espoir pour dire que rien n’est inéluctable.
Je vous propose d’être acteur de la naissance de mon livre en m’aidant à faire de sa parution prochaine, avec les Editions Maïa, un succès. Plus les préventes seront nombreuses, plus mon livre sera promu et diffusé. En retour, vous serez présents dans le livre en page de remerciements et vous recevrez le livre en avant-première, frais de port inclus !
Aussi longtemps que je me souvienne, mon regard a porté sur la Grande bleue. D’abord un regard d’enfant, avide de baignades avec les copains et de parties de pêche en famille. Aujourd’hui, un regard d’adulte, plus professionnel, qui se questionne sur notre capacité à protéger la vie marine. La Méditerranée, la mer de l’intérieur des terres est l’objet de nombreuses activités humaines. Elle est dans l’esprit de nombreuses personnes une mer perdue, polluée, couverte de déchets et sans avenir. Elle est même qualifiée de la mer la plus polluée du Monde. Pourtant elle abrite toujours l’une des biodiversités les plus remarquables de la planète. Et si cette vie marine est toujours présente et parfois florissante, c’est bien parce que depuis ces dernières décennies les actions pour la sauvegarder et améliorer sa santé se sont multipliées. Ce livre vous invite à prendre du recul et à aller à la rencontre de nombreux témoins qui évoquent leurs relations avec la Méditerranée.
Extrait
Il y a plus de 25 ans …
« Les rejets dans le milieu portent chaque année sur 1 106 tonnes d’hydrocarbures, 60 106 tonnes de détergents, 100 106 tonnes de mercure…, la faune et la flore n’en peuvent plus, le plongeur est terrifié parce qu’il voit les fonds marins profonds exposés est et sud-est brûlés par le courant ligure. Il n’y a aucune épuration et des millions de m3 d’eaux usées nauséabondes arrivent à la mer. Les fonds sont couverts de déchets de toutes sortes. Les dégâts sont faits et pour longtemps. Le langage des autorités n’est pas clair, il faut rendre la vie à la Méditerranée. Il y a de moins en moins de poissons et de pêcheurs, le poisson est pourri ou presque quand on le pêche. La végétation a disparu. Il n’y a plus de moules ni d’huîtres. Il y a de la vase, de l’eau trouble. L’homme a fait le vide. Nous savons ce qu’il ne faut pas faire, et pourtant nous continuons à faire des erreurs. Les normes ne sont globalement pas fiables, c’est le problème. Si cela continue, il n’y aura plus rien au fond. Les promoteurs immobiliers profitent de la situation. Le problème est pris trop tard, c’est criminel. Les rassurants communiqués officiels masquent la réalité ! Il faut proclamer l’état d’urgence ! »
Ces propos sont extraits de deux émissions de télévision « Pitié pour la Méditerranée » et « Alerte en Méditerranée » diffusées en France et en Suisse en août 1988. Ils traduisent de façon assez fidèle l’état d’esprit de la communauté scientifique et de celle des acteurs littoraux à la fin des années 1980. Leur constat était affligé : « La Méditerranée se meurt, et l’administration et les élus le savent. Rien n’est fait ! »
Aujourd’hui ? Quelle est la situation ? Sommes-nous face à une mer perdue, abandonnée qui se meurt ? Qu’avons-nous fait toutes ces années ? Reste-t-il un espoir ? Sommes-nous voués à voir mourir la Méditerranée ?
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Les étapes de création
Mon objectif est d'atteindre 990 € de pré-ventes afin de rendre possible la réalisation des maquettes, la correction, l'impression et la promotion. C'est pourquoi je fais appel à vous, auteurs, lecteurs et amoureux des mots ! Votre précommande permettra à mon projet de devenir réalité grâce à une équipe de professionnels.