La protagoniste, confrontée aux bouleversements de la Révolution, vit une période de transformation personnelle intense. Elle remet en question ses valeurs, ses aspirations et sa place dans la société, ce qui constitue un véritable passage à l’âge adulte et une découverte de soi.
L’intrigue amoureuse, teintée de passion et de danger, contraste avec la violence et les bouleversements de la Révolution. Cette imbrication de romantisme et de tragédie crée une tension narrative captivante.
En se focalisant sur l’expérience et les émotions d’une jeune fille ordinaire prise dans les tourments de l’époque, cette histoire offre une perspective unique sur la Révolution française, loin des récits historiques traditionnels.
Le choix du point de vue d’une jeune fille de 16 ans apporte une fraîcheur et une authenticité peu communes aux récits sur la Révolution française. Contrairement aux points de vue masculins et plus âgés qui dominent souvent ces récits, l’héroïne adolescente offre un regard original sur les événements historiques.
L’intégration de la romance et de la mort crée une tension narrative et émotionnelle captivante. L’histoire d’amour se mêle aux événements tragiques de la Révolution, ajoutant une dimension supplémentaire à l’intrigue.
La Révolution française, avec ses rebondissements et ses personnages emblématiques, constitue une période historique charnière. Elle offre un cadre fascinant pour explorer des thèmes universels tels que le passage à l’âge adulte, l’amour et la perte.

Pour les amateurs d’histoire et de romans historiques, ce livre propose une plongée captivante dans une période charnière de l’histoire française. L’intrigue romanesque est prenante et devrait particulièrement résonner auprès des jeunes adultes. De plus, l’histoire d’amour, teintée de passion et de danger, plaira aux lecteurs appréciant les récits sentimentaux sur fond d’événements historiques.

Offrir une fresque historique captivante et accessible à un large public, tout en apportant un éclairage original sur la Révolution française.
Explorer avec finesse les émotions et les questionnements d’une jeune fille face aux bouleversements historiques et personnels.
Dépeindre une histoire d’amour passionnelle et tragique sur fond d’événements tumultueux.
En résumé, mon roman propose une intrigue captivante et originale, mêlant romance, tragédie et Histoire, le tout raconté du point de vue d’une jeune fille de 16 ans. Son potentiel devrait séduire un large public et contribuer à enrichir la compréhension de cette période charnière de l’histoire française.

Œuvres littéraires :
« Les Misérables » de Victor Hugo (pour la toile de fond historique et la dimension sociale)
« Orgueil et Préjugés » de Jane Austen (pour la romance et la critique sociale)
« Le Journal d’Anne Frank » (pour le récit intime d’une jeune fille face à l’oppression)
Figures historiques :
Barras
Marie-Antoinette
Napoléon Bonaparte

Je me trouve devant le seuil, et je tends ma main pour tourner la poignée, je vois mes doigts trembler, je ne crois pas avoir le courage de le faire. Mon cerveau me dit non, mais mon cœur me pousse à le voir.
J’ouvre alors la porte, et je le vois allongé par terre, dans la cuisine, les couverts renversés, la table en désordre. Mes amis, je suis consciente que ce ne sont que des détails, mais ce sont les premières choses que je remarque.
Je m’approche, m’agenouille à ses côtés, lui touche le visage, et lui prends la main. Son corps est tellement froid, rigide et dépourvu de vie.
Je réalise, à cet instant, que mon père ne reviendra pas. Il est mort.
Je le maudis de nous laisser en cette période difficile, je lui hurle dessus, le frappe sur la poitrine et finit par m’étendre à ses côtés.
Je fixe son visage pâle et ses yeux ouverts et je me rends compte que ce qui m’effrayait le plus s’est produit :
Mon père est décédé… Nous avons rencontré La Faucheuse…
Cette personne impitoyable, cet enfant, ce larbin des dieux des enfers !
Je reste là, étendue, inconsolable, je n’entends plus rien. Juste le battement de mon cœur.
Ensuite, une caresse portée sur mon épaule par une main me réveilla de ma torpeur.
Ma mère était là pour m’aider à faire face à cette perte, qui était difficile et traumatisante. Elle me leva, puis essuya doucement mes joues.
Je remarquais que Stanislas était toujours là. Il avait attendu tout ce temps sans rien dire.
Il est entré, a couvert le corps de mon père avec un drap, tandis que ma mère commençait à prier, puis il alla chercher le médecin ainsi que le croque-mort.
Dans cette effervescente période, on ne traîne pas avec les défunts, on les enterre à la hâte, pour éviter toute maladie.

Ainsi, dans un calme et un respect dont seuls les fossoyeurs font preuves, ils ont soulevé le corps de mon père, et l’ont placé dans le cercueil de bois qui était disposé sur la charrette.
Nous sommes partis de la rue de la Réunion pour aller au Cimetière Charonne qui se trouve à côté. Le prêtre est là, il s’agit de Monseigneur De Mercoules qui fait partie du couvent des petits pères. Il récita quelques prières, puis le cercueil fut déposé dans ce trou noir et humide.