Dans cette deuxième partie, retrouvez Florence qui poursuit son amour chimérique et mélancolique pour Adrien, tout en menant différentes expériences amoureuses toutes plus décevantes les unes que les autres, jusqu’à ce que la vie lui offre un beau cadeau au moment où elle n’espère plus rien.

Hassan de son côté va connaître un destin hors norme aussi inattendu que singulier, entre ses mensonges et sa vérité, toujours aussi ambigu et complexe.

Pour tous les autres personnages leur vie va se dérouler entre amitié et amour, fidélité à leur jeunesse, solitude et indifférence avec le temps qui passe comme un tourbillon qui emporte tout.

Extrait

Florence parlant avec Clémence.

– J’admire votre détachement, votre sagesse. Je me conduis comme une midinette, l’amour, l’amour !
– tu te trompes, je ne suis pas détachée. L’amour c’est la chose la plus merveilleuse, essentielle je dirais ! Tu as entendu parler du mythe d’Aristophane ? Avoir la chance de rencontrer son autre moitié, celle dont nous avons étés séparés en des temps immémoriaux par des dieux cruels, condamnés à errer à sa recherche dans cette vie ou dans une autre, homme et femme, ou bien femme-femme, homme-homme peu importe, les genres se mélangent ou s’accordent entre eux…

En ce qui me concerne, je crois qu’il me faudra attendre une prochaine vie.
– Peut être que moi aussi !
– Je ne crois pas, affirmait Clémence péremptoire.