L’École 

Je m’appelle Lenny Pelletier, j’ai 22 ans. Je suis l’auteur du livre « L’École », ma toute première œuvre !
Je me suis inspiré de la série Dexter et de Dahmer pour mon personnage Hugues Vincent, qui a des pulsions meurtrières et qui sombre petit à petit !
J’ai toujours aimé la fiction, et un jour j’ai eu l’idée d’écrire ma propre œuvre. J’ai voulu créer un personnage principal complexe et une histoire sombre.

Je vous propose d’être acteur de la naissance de mon livre en m’aidant à faire de sa parution prochaine, avec les Editions Maïa, un succès. Plus les préventes seront nombreuses, plus mon livre sera promu et diffusé. En retour, vous serez présents dans le livre en page de remerciements et vous recevrez le livre en avant-première, frais de port inclus !

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Mon livre est un thriller, avec pour thème l’histoire d’un homme au bord de la folie qui cherche l’origine de son mal.
Je pense que le point d’originalité de « L’École » est son ambiance sombre et violente, ainsi que ses personnages qui ont tous une personnalité particulière. Pendant l’écriture, je me suis inspiré d’un lieu réel, l’école est un lieu de ma ville.

L’intérêt pour les gens de participer à sa création ? L’intérêt est de contribuer à la naissance d’une histoire palpitante avec un personnage principal fascinant et un univers sombre. Il faut absolument participer si vous aimez ce genre d’histoire !

Extrait

Je m’appelle Hugues Vincent, j’étais flic, du moins je l’étais, car j’ai été viré. Quelle est la raison ? J’ai des problèmes de comportement instable. On m’a suspendu parce que j’ai tabassé un dealer qui m’a insulté à mort. Il ne restait qu’une bouillie de son crâne.

Je pense que c’en était assez pour mes supérieurs hiérarchiques. Ce n’était pas la première fois que ce genre d’incident se produisait en 10 ans. Oui, 10 ans ! Ils ont mis 10 ans avant de comprendre que j’étais un foutu psychopathe. J’ai tué plusieurs gars pour de simples insultes. Je devrais être en prison, mais non, je suis simplement viré, et en plus, au bout de 10 ans !

Me voilà décidé à retourner dans ma ville d’enfance, Saint Arnold, pour comprendre d’où vient cette folie qui est en moi.

Saint Arnold est une ville au climat brumeux, sans aucune autre ville ni village à l’horizon. C’est très plat. Saint Arnold est assez désert, ce n’est pas une ville très attractive, mais ceux qui y vivent restent, et ceux qui partent reviennent un jour. C’est personnellement mon cas.

Me voilà revenu dans la maison de mon enfance. C’est une demeure assez ancienne qui se transmet de génération en génération. C’est une maison modeste, de la mousse pousse sur les murs, ce qui n’est pas étonnant. Mes parents sont morts il y a 20 ans, et j’étais déjà parti de cette ville. À l’intérieur de la maison, il y a encore cette odeur de renfermé. Le journal que mon père lisait est toujours là, comme s’il venait de quitter la pièce. La machine à tricoter de ma mère est encore là également.

La vieille tapisserie datant des années trente est toujours là, ainsi que les escaliers en bois qui craquent. Cette maison me rappelle certains souvenirs, comme la fois où mes parents m’ont surpris en train de tuer le chien, ou même la fois où j’ai crevé l’œil de mon cousin parce qu’il insinuait que j’avais une carrure squelettique et que j’étais pâle comme un vampire. Il avait finalement raison. Je ne suis plus squelettique aujourd’hui, mais j’ai gardé ce teint très pâle.

Mon père a fini par avoir très peur de moi. Nous étions très proches autrefois, mais petit à petit, notre relation s’est détériorée. Ma mère, elle, a cherché à comprendre ce qui n’allait pas. Elle a essayé de m’emmener voir un psy, mais selon lui, « rien à signaler, si il est violent, c’est sans doute à cause des jeux vidéo. » Pourtant, je ne jouais pas aux jeux vidéo. Mes loisirs étaient de traîner dans la forêt et de construire des pièges pour attraper des animaux, et ensuite les tuer. Cela canalisait un peu mes pulsions instables.

Ce manque de suivi psychologique m’a permis d’entrer dans la police d’une manière chanceuse. Je me suis déjà demandé comment ces pulsions ultra-violentes ont commencé. Eh bien, cela a commencé lorsque je suis rentré en école primaire pour la première fois. Je me suis défoulé violemment sur un élève de ma classe, d’une manière inouïe pour un enfant de 6 ans, pour une raison que j’ai en réalité oubliée.

Avant cela, j’étais dans une école maternelle, un établissement particulier. C’était un château avec plein d’élèves. Je me souviens qu’ils avaient embauché un mime pour amuser les enfants lors des récréations. J’avais souvent l’impression que le mime me fixait d’une manière malsaine.

Je faisais des cauchemars avec ce mime. Dans mon cauchemar, je vois le mime me réveiller, me tirer par les pieds. Je me vois hurler, mais personne ne m’entend. Le mime m’emmène vers une forêt qui rejoint cette fameuse école, pour ensuite m’emmener vers une porte à l’arrière que je griffe pour résister, et je me retrouve dans une cave. Je ne me souviens ensuite plus du reste du cauchemar.

Ce qui est étrange, c’est que j’ai l’impression d’avoir vraiment vécu ces événements.
Première chose intrigante, lorsque je me réveille, il y avait de la terre sur mon pyjama, comme si j’étais sorti en plein air et que j’avais rampé dans la terre. Peut- être du somnambulisme ?

Sauf que deux autres détails effrayants me reviennent en mémoire. Une fois, exceptionnellement à cause de la pluie, la récréation a eu lieu derrière l’école, et j’ai vu une porte qui est la même que dans mon cauchemar, avec aussi une trace de griffures. Deuxième détail vraiment très effrayant, il y a une fois lors d’une récréation, comme d’habitude, le mime, une fois avoir terminé sa prestation, est venu me voir pour me dire à l’oreille : « À ce soir, mon petit ! »

Hallucination ou réalité ? Je vais essayer de percer ce mystère et l’origine de ma violence en enquêtant dans ma ville natale.

  • Les étapes de création

    Mon objectif est d'atteindre 990 € de pré-ventes afin de rendre possible la réalisation des maquettes, la correction, l'impression et la promotion. C'est pourquoi je fais appel à vous, auteurs, lecteurs et amoureux des mots ! Votre précommande permettra à mon projet de devenir réalité grâce à une équipe de professionnels. Votre appui me sera précieux et vous recevrez vos contreparties dès la fin de la campagne.