Le Temps des Bâtards – La Gonfalonière – Tome 2
Passionnée d’histoire de l’art, j’en ai fait mon métier. Passionnée d’Italie, j’en ai fait des romans. J’ai créé le personnage de Pia pour, en racontant son histoire, me faire voyager dans le temps, au cœur du XVe siècle, et y entraîner mes lecteurs à ma suite.
Je fais aujourd’hui appel à vous pour réaliser ensemble ce projet d’édition. Je vous propose de contribuer à la naissance d’un livre et de devenir des partenaires pour cette création. Votre nom en tant que contributeur sera présent dans le livre et vous recevrez le livre en avant-première !
Le cadre de ce livre est la Renaissance italienne. J’ai choisi de m’intéresser à une période souvent inexplorée de cette époque (les années 1430) car romanciers et historiens préfèrent souvent aborder la Florence de Laurent le Magnifique (années 1470-1490) ou la Rome des Borgia. Ma protagoniste, elle, évolue dans les débuts de la Renaissance, où l’Italie bouillonne d’idées nouvelles et de figures historiques méconnues : mercenaires, bourgeois, brigands…
Le Temps des Bâtards vous révélera ce qu’il advient de cette tête de mule de Pia, maintenant qu’elle a obtenu son émancipation de la tutelle des Médicis (voir Madonnina, La Gonfalonière, tome 1).
Cette fois-ci, j’ai eu envie de vous emporter dans le rythme intense d’un roman d’aventures : vous chevaucherez avec Pia de Venise en Romagne, de Suisse en Ombrie ; vous la suivrez aussi bien sur des champs de bataille que dans des palais princiers, dans des cachots qu’au soleil de Toscane.
Extrait :
« Wolfram von Richental était un homme d’affaires chevronné, un négociateur averti, voire un escroc patenté. Mais de quoi servaient les enseignements du calcul et de la comptabilité lorsqu’il s’agissait d’ôter la vie à quelqu’un… ?
Ah, que n’avait-il ouvert sous elle la portière de la voiture, lorsque, durant le voyage aller, elle somnolait contre, et qu’ils passaient à l’aplomb de ravines qui l’auraient engloutie ! Il aurait alors fait croire que lui-même, pris par le sommeil, n’avait rien vu. Mais outre qu’il lui avait été impossible de fermer l’œil tant il était malmené par la brinqueballe de la voiture, il lui aurait fallu justifier la disparition de Pia lors de leur équipée commune.
Il avait pensé à la transpercer de son propre poignard, le même dont elle avait osé le blesser dans la partie la plus charnue de son anatomie. Ainsi, elle aurait péri par où elle l’avait agressé. Ce n’aurait été que justice. Mais là encore, comme expliquer le malencontreux accident ?
Quoi qu’il échafaudât, il retombait sur la même fatalité. Qu’il était difficile de perpétrer le crime parfait !
Il valait mieux attendre et s’adresser à quelque égorgeur professionnel. Cette idée le fit frémir : où trouver un tel homme ? À qui s’adresser pour recourir à de tels services ? À l’idée de Pia mordant la poussière, gémissant sous les coups, son frisson de dégoût se transforma en une sombre volupté. Il la détestait. À Constance, il trouverait bien un moyen d’assouvir cette haine. »
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Le budget souhaité
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