Le Bankiste

de Patrick Bonjean

Plongez dans mes aventures : la « fürher du samedi soir » d’Adolphe, mon directeur… deux suicides (un vrai, un faux). Je me suis aussi « envoyé en l’air » avec un client pour un vol, mais sans voler, j’ai subi une véritable tentative d’électrocution à la fourchette, lors d’une chasse à l’ohm ! J’ai connu un passage à « bar-tabac », un pistolet dans les narines, fait une rencontre avec un pingouin au tribunal, joué un match de foot proprement incroyable… et même pêché à la grenade ! J’ai fait une incursion dans un épisode des Visiteurs, échappé de peu à un trou de balle mal placé, sans oublier une plongée dans des soutiens-gorge supervisée par de gros bonnets… J’ai appris la fabrication du gruyère américain, tenté de voler ma propre voiture, et même fait la bombe… senteur citron, sans compter mes tracas avec les durillons de comptoir ! Bref, j’ai vécu bien des péripéties absolument irracontables, toutes vraies et retranscrites ici !

Je vous propose de participer à la naissance de mon livre en m’aidant à faire de sa parution prochaine avec les Éditions Maïa, un succès. Plus les préventes seront nombreuses, plus il sera promu et diffusé. En retour, vous y graverez votre empreinte et y serez mentionnés en page de remerciements (selon accord). Vous recevrez le livre en avant-première, frais de port inclus !

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« Un sourire coûte moins cher que l’électricité, mais donne autant de lumière… » a dit l’Abbé Pierre.  « Avec le banquier, vous allez faire de sacrées économies d’éclairage… », ça, c’est Patrick Bonjean qui le dit.

Ce livre va libérer le lecteur de la sinistrose actuelle, où tout est noir, triste, dramatique ! Il y a quelques passages délicats, mais au milieu d’un tourbillon d’anecdotes cocasses. Cet ouvrage n’est pas un support de technique bancaire, ni le récit d’un grand banquier d’affaires. L’auteur y relate des situations du quotidien de tout le personnel bancaire, mais qui sortent de l’ordinaire…

L’écriture est fluide et nous emporte dès les premières lignes dans la folle carrière de l’auteur, aux rebondissements constants, au travers des multiples mutations et des situations rocambolesques, touchantes et haletantes, avec un humour qui nous fait rire d’un bout à l’autre du récit (sauf quand la situation devient un peu trop dramatique). L’histoire, construite dans l’ordre chronologique, réussit très bien à montrer les évolutions du métier de banquier et bankiste. Elle montre les changements qu’a introduits l’arrivée de la technologie et d’internet, ainsi que l’évolution de la société en général, sous le prisme des questions banquières. L’écriture, simple à lire et à suivre, avec un rythme tenu du début à la fin…

« Bon, j’ai fini… en boulet de canon. C’est bon, très très bon Patrick. Quel plaisir ! Le problème c’est qu’on en veut encore… et il me semble que tu me disais dernièrement que tu avais du mal à redémarrer la suite. Pas question de t’arrêter ! On en veut plus ! » – Un lecteur assidu.

Extrait de  Le Bankiste  de Patrick Bonjean

Je côtoie un ingénieur de Perrier lors de la fameuse affaire du benzène dans les bouteilles de Perrier.

«  Nous sommes en 1990, Perrier doit affronter un scandale aux Etats-Unis, où il a été trouvé des traces de benzène dans quelques bouteilles du précieux breuvage… L’entreprise joue gros, car les USA sont un énorme marché et mon interlocuteur est dépêché sur place parce qu’il parle parfaitement la langue chewing-gumée. Une responsabilité énorme pèse sur les épaules de ce jeune cadre. Et si on peut dire communément qu’il y a de « l’eau dans le gaz », lui peut affirmer qu’il y a du « pétrole dans l’eau gazeuse »… En quelque sorte, un sacré « cas d’eau », de sa direction, si je puis dire !
Arrivé à New-York, il loue un véhicule pour se rendre sur les lieux du crime de lèse notoriété… Le stress ambiant lui fait monter le compte tour de sa grosse berline… Chaque seconde compte ! A la sortie d’une petite localité, il est arrêté par la police du canton, selon les coutumes locales… « Sortez du véhicule, placez les mains à plat sur le toit, reculez les pieds, ne bougez plus… ». Manifestement, ce n’est pas le moment de faire le malin… Ils ont braqué sur lui un arsenal capable de le transformer en une variété de gruyère de très mauvaise qualité… Nota : En effet, dans ce genre de situation, les trous devant sont très gros, et l’affinage n’étant pas parfait, la pâte n’est pas très comestible…
Le reste de l’opération suit la même logique : retour au commissariat, mise en cellule de dégrisement bien qu’il ne boive que de l’eau, enquête sur d’éventuels autres méfaits, … Bref, tout ce qu’il faut pour lui faire reperdre au centuple les minutes difficilement gagnées à la sueur de… son pied droit ! Il est enfin relâché après plus de douze heures de palabres, d’interrogatoires, et autres réjouissances, dont une amende salée !
Il arrive enfin à destination, constate que les treize bouteilles dûment incriminées sont bien polluées… Rien d’anormal ne peut être remarqué au niveau des manipulations ni du stockage… Il n’y a rien à découvrir sur place ! Il doit se hâter de rentrer en France, pour tenter de trouver l’origine du problème dans les processus de fabrication ou le matériel… Il enfourche donc son cheval de cow-boy, ou plus précisément, il fait de nouveau rugir les chevaux du moteur sur le chemin du retour… Le rugissement va vite s’arrêter, au même niveau qu’à l’aller, par le même intermédiaire, et la même procédure…
Vous connaissez déjà l’histoire de la fabrication du gruyère américain, on ne va pas en faire tout un fromage… La seule différence, c’est le charmant lieu de villégiature … et pour être plus précis le séjour dans la fameuse cellule de dégrisement … Il va y rester quatre jours complets !
L’état américain va lui imposer une sorte de retraite spirituelle et ayurvédique réunies, histoire de méditer sur les inconséquences transcendantales du stress existentiel dans le comportement personnel des homo-sapiens au moment de leur migration professionnelle ! Vous me suivez ? bon, pas trop vite, hein ! Inutile de préciser que la note pour l’eau et le pain dur est pétillante !
Pendant cet intermède mystique et eau-nirique, ce sont les ventes de Perrier qui se précipitent … dans le vide, alors que des millions de bouteilles doivent être rappelées et détruites ! Ce n’est que le développement fonctionnel de l’expression populaire : « où ya du benzène, ya pas d’plaisir »… »

  • Les étapes de la création

    L'objectif de cette campagne est d'atteindre 990 € de préventes, qui participeront à la diffusion et à la promotion du livre lors de son édition officielle. Auteur(rice), lecteur(rice) et amoureux(se) des mots, votre collaboration est valorisée pour faire de ce projet tant attendu, une belle réussite, grâce à l'équipe professionnelle des Editions Maïa. En précommandant, vous gravez votre empreinte dans cette œuvre originale et y inscrivez votre nom*. Vous recevrez vos contreparties dès la fin de la campagne de prévente. *selon votre accord