La vie continue, tu sais…

En écrivant ce premier roman, j’ai découvert un univers vaste que je n’avais jamais franchi. Je ne suis pas né pour rien. Je me suis laissé envahir par les mots, ceux qui m’ont permis de donner vie à des personnages. C’était merveilleux d’inventer Balthazar et Clara, les héros de cette histoire, de leur permettre d’exister, de les aimer finalement. Ils nous plongent dans un monde incertain mais où l’on peut trouver un chemin apaisant et où l’on mesure l’importance d’aimer.

Je vous propose d’être acteur de la naissance de mon livre en m’aidant à faire de sa parution prochaine, avec les Editions Maïa, un succès. Plus les préventes seront nombreuses, plus mon livre sera promu et diffusé. En retour, vous serez présents dans le livre en page de remerciements et vous recevrez le livre en avant-première, frais de port inclus !

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Présentation de l’auteur

Richard Michel signe son premier roman. Journaliste et producteur puis patron de chaîne de télévision, il a voulu cette fois-ci échapper aux soubresauts de l’actualité. Toutefois présente en fond de décor dans son roman, elle y marque le temps qui passe.
Un temps que l’auteur prend à rebours à travers des moments fantastiques de l’enfance puis de l’adolescence où chaque être se forge, se construit, trace son chemin.
L’auteur demeure énigmatique sur la rencontre de son imaginaire avec le réel, faisant sienne cette maxime de James Joyce : « Écrire, c’est recréer la vie avec la vie ».
Partant de cette vision, il nous donne à lire la vie comme elle va, avec ses soubresauts et ses surprises car « La vie continue, tu sais… », titre-t-il.


Résumé du livre

Emmuré dans un secret familial profond, face à une mère absente ou distante, Balthazar Greco, dès sa naissance, a dû faire face à un mystère : était-il désiré ?
Que peut faire un enfant, un jeune adolescent dans un décor familial glacial où seuls les grands-parents apportent un peu d’humanité ? Vivre, respirer, rêver, découvrir le sexe et l’amour, devenir un homme libre, cultivé, prêt à mordre la vie à pleines dents. C’est le désir profond de Balthazar.
Sa vraie vie commence quand il décide de s’échapper de ce cercle familial étriqué. Obligé de gagner sa vie, il passe deux années dans l’odeur de la fonte en fusion jaillissant des hauts-fourneaux d’une vallée de Lorraine. Puis l’idée de reprendre ses études l’entraîne dans un rêve fou : devenir éditeur.
Quelle audace quand, à 18 ans, on n’a lu que deux romans !
Mais Balthazar n’est pas à un défi près. Quand il croise la « fille à la machine magique », qui emplit de musique les cathédrales de France et d’ailleurs, il se prend à rêver de fonder une famille « normale », aimante.
Deviendra-t-il un éditeur inspiré et respecté ? Réussira-t-il à garder Clara pour toujours auprès de lui ? Enfin, le secret familial qui l’entoure sera-t-il révélé ?

Extrait

En vérité, j’ai atterri un beau matin dans un monde, presque vide. Les murs de notre appartement étaient nus comme sont les cœurs bannis à jamais. Sans signe de reconnaissance, d’affection, d’amour. Jamais un mot gentil, jamais une caresse, jamais un sourire. Rien. Je ne me souviens pas que quelqu’un ait prononcé mon prénom, Balthazar. J’arrivai là comme ça. Le salon-cuisine était sommaire. Il y avait peut-être deux chambres, mais je ne m’en souviens même pas. Les logements de cette cité SNCF étaient sombres. La lumière n’était pas un élément considéré. On vivait dans l’ombre. Il ne s’agissait pas de vivre caché, mais le strict minimum était la règle. Une table quelconque, trois chaises en bois. Un buffet tout aussi quelconque abritant quelques verres, assiettes, fourchettes et couteaux. Ce n’était pas grave, nous ne recevions pas. Seule comptait alors la bouffe et dormir. Mais qui bouffait ? Qui dormait ? Je n’ai aucun souvenir de ma chambre et de mon lit. Je me souviens seulement du silence. Était-il interdit de parler, de respirer ? Moi, je respirais, je marchais, je bafouillais quelques mots, mais dans ma tête, comme un divertissement, seul le bruit des trains qui passaient et repassaient me berçait et galvanisait mon imaginaire. Je rêvais de conduire un jour une locomotive à vapeur et d’aller le plus loin possible. Où ? Je n’en avais aucune idée.

  • Les étapes de création

    Mon objectif est d'atteindre 990 € de pré-ventes afin de rendre possible la réalisation des maquettes, la correction, l'impression et la promotion. C'est pourquoi je fais appel à vous, auteurs, lecteurs et amoureux des mots ! Votre précommande permettra à mon projet de devenir réalité grâce à une équipe de professionnels. Votre appui me sera précieux et vous recevrez vos contreparties dès la fin de la campagne.