La porte qu’il ne fallait pas ouvrir, est un thriller familial, dans ce roman il y a une multitude de retournements, de situations, une fois que l’on a ouvert non pas la porte, mais ce roman, une seule envie vous suit, à savoir, qu’y a t-il derrière cette porte ? Alors ouvrons ce roman et plongeons-nous dans un récit haletant jusqu’à une fin surprenante. Ce roman s’adresse à un public très large qui aime une lecture fluide, facile, et qui aime être surpris presque à chaque page tournée.

Mon 15e anniversaire.

Aussi loin que je m’en souvienne, j’ai l’image de cette porte toujours fermée, cette porte, je n’y avais jamais prêté une attention particulière, j’étais trop petit, trop jeune que pour me soucier d’elle. Mais alors que nous fêtions mon 13ème anniversaire, que maman s’apprêtait à découper le gâteau qui venait de chez Patachou, je me rendais compte ce jour-là, que chez nous, toutes les portes intérieures restaient constamment ouvertes, excepté celle des toilettes, celle de la salle de douche, même chose pour cette fameuse porte se trouvant entre la cuisine et la salle à manger. Je pris soudainement conscience ce jour-là, que cette fameuse porte qui allait me hanter pour une bonne partie de ma vie, était et restait constamment fermée. Je ne saurais vous dire pourquoi en ce jour de fête, je fus attiré par elle, qui, mis à part d’être constamment fermée n’avait rien de plus, ou de moins que la bonne dizaine de portes se trouvant sur les deux étages de notre maison, quoique, alors que je l’observais plus que je ne la regardais, je remarquais qu’elle possédait deux serrures, je remarquais également que c’était la seule du rez-de-chaussée à ne pas avoir été décorée pour mon annif. Cette porte allait gâcher ma 13ème année d’existence, et ce pour une bonne partie de ma vie. Je m’en souviens comme si c’était hier, j’entends encore aujourd’hui ma maman me demander de souffler les bougies, sa voix qui résonne dans ma tête avec cette phrase qu’elle dû me répéter plusieurs fois d’affilée avant que mon cerveau qui était bloqué sur cette porte ne revienne à la fête. Depuis cet instant, je fus obnubilé par cette porte, par cette question, à savoir, qu’hier encore, elle m’était insignifiante, alors qu’aujourd’hui, elle allait m’obséder pour un grand nombre d’années, mais pourquoi cette porte était-elle toujours fermée ?