Eric Adrien Staub© »Fleuve de sang », 1992 – Peinture à l’huile

Comme je le dis dans l’avant-propos de mon ouvrage, en citant Albert Einstein : « Le monde est dangereux à vivre ! Non pas tant à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire ».
Partant de l’idée qu’il est nécessaire de sans cesse s’interroger, d’émettre un avis personnel par rapport aux comportements de ses semblables, j’exprime dans cet essai mon opinion personnelle au sujet des comportements humains. J’analyse les peuples de différentes origines, leurs cultures passées et présentes.

J’ai cet essai au-dedans de moi depuis beaucoup d’années. Il s’agit principalement de réflexions fortes sur des thèmes quelquefois ardus, pour lesquels il n’existe pas toujours de réponses qui puissent satisfaire l’ensemble de la population. Je propose également des pistes de solutions afin de créer un dialogue entre mes lectrices et lecteurs.

Dans cet ouvrage, je m’insurge aussi contre les guerres inutiles qui ravagent notre planète et tuent un nombre croissant d’enfants, d’adolescents et d’adultes innocents. Notre planète et ses ressources sont un bien commun ; il est impératif d’apprendre à partager ces ressources pour le bien-être de tous les habitants de la planète.

Extrait de  La longue marche des peuples de la terre  par Eric Adrien Staub

Dans ce texte, j’aborde des sujets qui interrogent la plupart des êtres humains : comment perçois-je les êtres vivants, les races, les peuples de différentes ethnies, les religions, les cultures passées et présentes ? Comment perçois-je les conflits incessants entre les peuples de notre planète ? Comment perçois-je la création, notre planète, notre système solaire, les galaxies et notre univers dans son entier ?
C’est pourquoi il m’est devenu nécessaire d’analyser, de commenter et de proposer des solutions pour améliorer le quotidien de tous et pour participer à l’élaboration de ce qui fera avancer l’humanité dans le futur.
En écrivant ces remarques et autres réflexions, je pense en particulier aux enfants, aux adolescents et aux jeunes adultes. Ce sont eux qui constituent le futur de notre humanité toute entière et ce sont eux à qui il incombera de sauvegarder notre planète Terre.
Les progrès technologiques, les solutions informatiques ainsi que les progrès de la médecine ne suffisent pas à garantir les conditions élémentaires requises par la Charte des Nations Unies. Pour cette raison, je m’insurge, car il n’est pas normal, en ce siècle, que des centaines de milliers de personnes meurent parce qu’elles n’ont pas de toit au-dessus de leurs têtes, qu’elles n’ont pas d’eau potable ni de nourriture en suffisance. Bien souvent, elles n’ont pas accès aux soins médicaux ni à une éducation suffisante.
Ces manquements sont dans la plupart des cas dus à des États pauvres, quelquefois soumis à la corruption. Ces États sont cependant signataires de la Charte de l’ONU et, en tant que signataires, ils ont l’obligation d’appliquer les clauses de la Charte, qui garantit à chaque être humain d’être protégé, de manger et de boire en suffisance, de recevoir des soins et une éducation élémentaire.
Il devient nécessaire et urgent pour les populations mondiales de faire pression sur les gouvernements respectifs et de les inciter à faire preuve de plus de sagesse lors de conflits qui doivent être réglés uniquement par des négociations et non par la force des armes.

Précédentes publications

• Naike – Un novice bouddhiste Laotien, Roman, 2016
• Des jours plus sombres que les nuits, Roman, 2017
• Samuel, la Métamorphose, Roman, 2017
• Je M’appelle Jérémie, Roman, 2018