La Chaussette
Avoir pris le Chemin vers Saint-Jacques-de-Compostelle fut ma meilleure thérapie, moi qui avais sombré dans la mélancolie et la tristesse suite à la disparition de ma Mère. Il m’a littéralement changé. J’étais en léthargie et je me retrouvais de nouveau en éveil, prêt à assouvir mes passions humaines, celles que je n’osais révéler par peur de l’inconnu, du qu’en dira t-on. Mes peurs, mes doutes étaient désormais derrière moi. J’en ai fait un récit que je vous invite à partager. Suivez-moi je vous emmène dans mon aventure.
Je vous propose d’être acteur de la naissance de mon livre en m’aidant à faire de sa parution prochaine, avec les Editions Maïa, un succès. Plus les préventes seront nombreuses, plus mon livre sera promu et diffusé. En retour, vous serez présents dans le livre en page de remerciements et vous recevrez le livre en avant-première, frais de port inclus !
Description
55 ans, une vie d’entrepreneur de 25 ans aujourd’hui révolue. Une vie engagée sur des rails qui ne me convenait pas, et contre ma volonté. Alors tant bien que mal, j’ai essayé de contourner ce qui m’avait été imposé, mais jamais je n’y ai trouvé une pleine plénitude. Aujourd’hui je revis et tente d’exister par la littérature et la musique.
Écrire m’a toujours accompagné, mais personne n’en a jamais lu une seule ligne. Après avoir marché sur quelque 2000 km, j’avais besoin de verbaliser mon aventure. Ce récit mettait un point final à 72 jours passés sur le Chemin vers Saint-Jacques-de-Compostelle. Avoir écrit ces lignes matérialisait physiquement la disparition de ma mère de ce monde. Plusieurs de mes amis voulaient connaitre ce que j’avais vécu, et ce sont eux qui m’ont poussé à vous rencontrer chères lectrices et chers lecteurs.
Le Chemin m’a accompagné dans la recherche des réponses aux questions que je me posais : Qui étais-je ? Quel était le sens à donner à ma vie ? Il me les a induite. Alors s’il m’a aidé, pourquoi n’aiderait — il pas d’autres personnes en mal-être à retrouver la lumière du soleil. Ce livre en est une parfaite illustration.
Mon livre, mon histoire
Perdre un être chère, est une déchirure que la vie réserve à chacun d’entre nous, un jour ou l’autre.
Moi, je n’y étais pas préparé et je sombrai dans la mélancolie et la tristesse, plus rien ne m’intéressait, pas même mon job. J’éprouvai le besoin de me dépenser physiquement et c’est comme ça que le Chemin s’est imposé à moi, comme une évidence. Alors un jour, je suis parti. J’ai bouclé un sac à dos un peu trop lourd pour mes frêles épaules et y glissai une petite chaussette : un dernier rempart qui avait réchauffé le pied endolori par la maladie de ma mère. 72 jours et près de 2000 km de questionnements, d’efforts aussi pour arriver à la conclusion que malgré la souffrance, la vie est belle. Le Chemin m’a réouvert les yeux, m’a réapprit à regarder la nature et à comprendre les autres. Enfin j’utilisais peut-être pour la première fois, le lobe droit de mon cerveau, celui des émotions et du cœur. J’étais endormi par le train-train imposé par notre société et aujourd’hui pour la première fois j’allais exister par ce qui me faisait réellement vibrer : la musique et l’écriture. Des passions d’enfance trop longtemps enfouies au fond de mon cerveau gauche, celui de la raison, celui qui, jusqu’à maintenant guidait mes choix.
C’est un livre qui fait du bien, un parcours empreint d’émotions, de questionnements et qui nous rappelle combien la vie est belle. Il suffit de se pencher pour cueillir le meilleur des autres et de se relever pour admirer les splendeurs de la nature. C’est le témoignage de l’aventure humaine la plus grande qui m’a été donnée de vivre. J’y mêle humour et dérision et vous invite chères lectrices et chers lecteurs à réfléchir sur notre monde et à marcher avec moi dans mes pas. Ce que je vois, vous le découvrirez, ce que je dis, vous l’entendrez et ce qui m’interpelle, vous y répondrez simplement.
Nous avons tous une histoire à raconter, nous en sommes les acteurs. Les rencontres que j’ai faites sont gravées dans mon cœur, dans mon livre leurs empreintes y sont marquées d’une pierre blanche.
Extrait
Dans trois heures, je dirai au revoir à Santiago et embarquerai dans un bus pour Paris. Là se terminerait mon aventure humaine, la plus riche que j’ai connue, commencée un après-midi de mars sur les grèves du Mont-Saint-Michel à près de deux mille kilomètres de là. Quand je serai rentré, les autres voudront savoir. Mais comment pourrais-je leur raconter soixante-douze jours d’introspection et de bonheur partagé avec le Camino ? Je crois que je leur citerai tout simplement vos noms : Marie, Nathalie de la Godinette, Brice, Martine, Leila, Annie, Danièle et Pascal, Maxime et Grégory, Stella, Michelle et Béatrice, Daniel, Richard, Marie-Odile, Elysabeth et Gilles, Jeanne et Suzanne, Joëlle, Marie-Jeanne, Luciano, Jonathan, Patrick, Joseph, Gabi et Mado, Rémi, Brice, Alain, Guy et Jean, Carine et Mickaël, Marithe et Bruno, Anne, Yvette, Nadia, Anne et Christelle, Sophie et Christophe, Catherine et Michel, Annie et Jean-Marie, Thalie et Laure, Cathy, Nathalie et Ludovic, Claude, Didier et Marie-Laure, Viviane et Pierre, Claude, Isabelle, Marie-France et Michelle, Carole, Antoine, Eugénia, Anne, Mariana, Jeffrey, Adam, Ruth et Gurgen, Paul et Jeremy, Hervé, Jéremias, Emma, Sonia, Amadeus, Katrine, Claudia, Johir et Jérémy, Tobias et Anné, Yohan, Constant et Filou, Vera, Max et Bernard, Fina, Anna, Marie-Pascale, Stéphanie, Emeline, Jean Louis, Anne. Des rencontres d’une heure, d’un jour, d’une semaine. Merci à vous ! Que nos rencontres aient été fortuites, incongrues, hasardeuses, induites, provoquées ou spontanées, elles furent toutes belles et pleines d’allégresse et de bienveillance. Le bien-être, le savoir-vivre et le savoir-être habitait chacune d’entre elles ! Le Chemin fut une remise en question de moi-même. Ce fut un retour à mon instinct primaire, à ce qui faisait réellement le sel de ma vie d’homme. Ce fut remettre l’essentiel au centre de ma propre existence et de mon sens humain. Ce fut réapprendre à vivre avec rien ou presque rien. Ma richesse tenait en quelques vêtements et accessoires, un duvet, le tout enfoui dans mon sac à dos, et finalement, ce peu suffisait amplement. Ce fut le retour du lobe droit de mon cerveau resté longtemps en immersion. De nouveau les choses, les gens, les éléments se retrouvaient connectés en ligne directe avec mon cœur et cette nouvelle perception de ma vie changeait radicalement mon rapport aux autres. J’avais dormi sous la tente, dans une vielle grange, dans un abri-bus, et je n’en avais éprouvé ni peur, ni même inconfort. J’avais adoré bivouaquer en forêt, dans un champ, dans une vigne, le long d’une rivière ou d’un canal et redécouvrir le plaisir d’être réveillé tous les matins par le chant d’une tourterelle. J’avais réappris à vivre avec un grand V.
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Les étapes de création
Mon objectif est d'atteindre 990 € de pré-ventes afin de rendre possible la réalisation des maquettes, la correction, l'impression et la promotion. C'est pourquoi je fais appel à vous, auteurs, lecteurs et amoureux des mots ! Votre précommande permettra à mon projet de devenir réalité grâce à une équipe de professionnels. Votre appui me sera précieux et vous recevrez vos contreparties dès la fin de la campagne.