Elles écrivent ton nom Égalité, une autre Histoire de France depuis la Révolution
Après plus de 40 ans passés au service des femmes au cœur de l’État et dans les associations, j’ai constaté que nulle part ailleurs n’était expliquée l’histoire de la longue marche des Françaises vers l’égalité encore inachevée. Mon seul devoir consiste en la transmission de ces connaissances pour enrichir la culture de l’égalité et susciter chez les plus jeunes l’envie de reprendre le flambeau pour porter nos valeurs républicaines.
Je vous propose d’être acteur de la naissance de mon livre en m’aidant à faire de sa parution prochaine, avec les Editions Maïa, un succès. Plus les préventes seront nombreuses, plus mon livre sera promu et diffusé. En retour, vous serez présents dans le livre en page de remerciements et vous recevrez le livre en avant-première, frais de port inclus !
Pour la 1re fois, l’histoire de France n’est plus celle des hommes depuis Olympe de Gouges.
Bousculant le Code Napoléon, les femmes réclament l’accès à l’instruction pour sortir de leur statut d’infériorité. Elles s’émancipent, transgressent les codes vestimentaires, luttent pour se former afin d’accéder à tous les métiers, revendiquent le droit de se syndiquer. Les artistes cherchent à vivre de leur art. Les Françaises se battent pour conquérir leurs droits afin de voter, d’utiliser la contraception, d’avoir accès à l’IVG et dénoncent les violences subies. 225 actrices de l’égalité illustrent ce parcours jusqu’à nos jours : Maria Deraismes, Hélène Brion, Suzanne Noël, Yvonne Foinant, Hubertine Auclert, Gisèle Halimi, Danièle Casanova, Marie Curie, Kahina Bahloul, Simone Veil … Que reste-t-il à conquérir dans les domaines religieux et les lieux de prestige ? Quelle vigilance devons-nous encore avoir ? À leurs côtés, quelques hommes agissent : Léon Richer, Ferdinand Buisson… En 1974 le 1er Secrétariat d’État à la condition féminine est créé, l’Europe devient le fer de lance de l’égalité, les Journées internationales mobilisent toujours. Un livre d’exception pour une découverte unique, riche d’enseignements sur les droits des femmes, accessible à toutes et tous.
Introduction
« Au bout de mon pinceau sur la palette de l’oubli, j’ai mélangé avec bonheur une foultitude de couleurs qui portent les noms enchanteurs de la vie : le savoir, l’envie, la curiosité, le respect, la découverte, pour brosser une grande fresque à la fois chronologique et thématique qui couvre l’ensemble des domaines où les femmes ont été les actrices du changement. Comme des touches de lumière, brillantes, 225 femmes pétillantes, inattendues, incroyables surgissent, revivent pour éclairer et donner du sens à notre histoire. Ces héroïnes sont parfois connues, souvent oubliées et invisibles.
Elles sont là pour inspirer dans l’avenir les femmes et les hommes de bonne volonté qui doivent prendre le relais, là où ils demeurent pour les mettre à l’honneur en donnant leur nom à une salle, une rue, un square, une école… que sais-je encore ? Mais les faire revivre, absolument. Comme une passeuse de l’histoire pour continuer de construire demain l’égalité, il m’a semblé légitime de fêter aussi un anniversaire hors du commun, celui des cinquante ans de la création du 1er Secrétariat d’État à la Condition féminine qui a mis en place des politiques et fait voter des lois pour l’égalité des droits, souvent sous la poussée des associations féministes dans une dynamique européenne. C’est ça l’autre Histoire de France.
225 femmes essentielles ou oubliées dites les non-essentielles ?
L’histoire de France ou le récit de ce qui s’est passé ! L’histoire toujours écrite par les hommes à la gloire des seuls hommes qui possèdent une once de pouvoir. Personne ne devait leur faire de l’ombre et surtout pas les femmes sauf à leur servir de jolis ornements en tant qu’épouses multiples en adoration de leur roi ou, à défaut, être des courtisanes de qualité. Bien entendu à l’époque révolutionnaire, quelques femmes de la Commune sont stigmatisées et se retrouvent dans les livres d’histoire. Louise Michel (1830-1905) est déportée en Nouvelle-Calédonie et Charlotte Corday (1768 – 1793) assassine Jean-Paul Marat (1743-1793) le représentant de la terreur, avant d’être elle-même guillotinée. Ces références sont un peu courtes tout de même ! Les femmes sont-elles donc dangereuses ? »
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Les étapes de création
Mon objectif est d'atteindre 990 € de pré-ventes afin de rendre possible la réalisation des maquettes, la correction, l'impression et la promotion. C'est pourquoi je fais appel à vous, auteurs, lecteurs et amoureux des mots ! Votre précommande permettra à mon projet de devenir réalité grâce à une équipe de professionnels. Votre appui me sera précieux et vous recevrez vos contreparties dès la fin de la campagne.