Entretien avec Quentin Lhermès – Des gribouillis d’amour

Quel a été votre sentiment quand votre livre est paru ?

Ce livre a une histoire particulière. L’Amie à qui je l’ai dédié est décédée avant sa parution. Aussi, quand mes Gribouillis d’amour sont sortis j’ai éprouvé spontanément de la tristesse. Après quoi, j’avais promis à cette amie, frappée par une terrible maladie, que je ferai voyager son prénom dans toute la France grâce au roman. Et sa parution m’a en partie soulagé car elle rendait désormais possible un tel » tour de France de son prénom « . Reste à connaître à ce jour le nombre d’étapes que mes lecteurs lui ont réservé…

Que retenez-vous de cette expérience d’édition par rapport à votre travail d’écriture ? En avez-vous tiré des enseignements ?

Mon travail d’édition avec les éditions Maïa est toujours un bonheur dans la mesure où tout est mis en œuvre selon ses moyens pour satisfaire mes exigences de perfectionniste, c’est tout dire ! Et l’enseignement naturel que j’en ai retiré n’est pas des moindres : le désir d’écrire un nouveau livre à paraître avant la fin de cette année 2022 ou au tout début de l’année nouvelle.

Envisagez-vous d’écrire un autre livre ? Si oui, sur quoi avez-vous envie d’écrire pour ce prochain livre ?

Comme je l’ai annoncé, la » faute » aux éditions Maïa ! Mon désir d’écrire est intact après deux publications et la troisième est annoncée pour la fin d’année. Avec pour une fois, une autre originalité, puisque ce nouvel ouvrage surprendra par sa petite taille de poche, le fait que je le publierai exceptionnellement sous mon nom de ville, Yves Blanc. Sans oublier le thème abordé : la présentation d’une découverte scientifique que j’ai promise à ma petite fée, entendez une personne dont l’intelligence m’est très chère et que je couve donc d’affection. Tout ça, parce qu’elle est par ailleurs de ces génies rares que le temps n’atteint pas et qui gardent leur insatiable curiosité d’enfant pour le monde des sciences ! De sorte que ses désirs sont des ordres et que j’ai dû me résoudre à vulgariser ma pensée sous ses yeux !

À tous mes amis lecteurs, je dis soyez forts ! Vous m’êtes si chers.