Mon but ?
Raconter des histoires qui vont susciter dans l’esprit du lecteur ses propres anecdotes, et de se les remémorer. Il y a du suspens, de l’émotion, du plaisir et de l’humour dans ce Tome 2. Une anecdote par jour, certains lecteurs liront le livre d’une traite. À chacun son rythme et son lieu : le matin aux aurores, entre deux rendez-vous, avant une petite sieste, sur la plage entre deux bains de mer, au bureau lors d’une pause, en voiture comme passager. Un style d’écriture facile (pas besoin d’un dictionnaire), des anecdotes racontées sous un format dynamique, elles peuvent se picorer à la seule volonté du lecteur sans respecter l’ordre du livre.

C’est aussi une pause dans nos vies sans passer son temps à scroller sur un smartphone. Ce qui m’anime est de ne pas laisser partir avec moi, toutes ces belles histoires qui pourraient distraire les lectrices et lecteurs.

Avant-propos

Si vous lisez ces lignes, c’est que vous aimez découvrir de belles et nouvelles histoires. Le Tome 1 « Livret A comme Anecdotes » vous a séduit par ses situations délicates et inattendues racontées avec suspens et humour.
Je vous invite à croquer une, deux, trois de mes anecdotes par jour. N’ayez crainte de finir trop vite ce « Plan B comme Belles Histoires », un autre Tome (au moins !) va bientôt suivre…
J’espère, chers lecteurs, que mes récits vont éveiller des souvenirs et faire jaillir des émotions. Au fil des pages de ce livre, vos propres et précieuses histoires risquent fort de ressurgir de votre mémoire et reprendre vie.

Vous êtes prêt(e) à vivre de nouvelles aventures ?

Extrait 1

Je me souviens très bien du jour où j’ai entendu cette expression pour la première fois. J’étais en classe de Sixième 8. C’était mon professeur de français, monsieur Alouïse Tourcher, qui nous l’avait expliquée lors d’un cours magistral fort bien orchestré :
« L’habit ne fait pas le moine. »

Extrait 2

Dès que j’ai su marcher, j’ai tapé dans un ballon. Avais-je hérité du talent paternel ou mon destin était-il déjà scellé ? Je me souviens parfaitement que la découverte de ce sport à la télévision auprès de mon père fut une révélation. Mes trois sœurs n’en avaient rien à faire, de ce sport collectif. Elles ne comprenaient pas la stratégie de ce jeu. Elles disaient à qui voulait l’entendre qu’un ballon pour chaque joueur serait plus logique qu’un seul pour vingt-deux gars…

Extrait 3

Je ne sais pas si la langue de Shakespeare fait partie de vos compétences techniques ou hard skills, mais, en ce qui me concerne, la réponse est sans équivoque : NO!
L’autre fois, je lisais un article dont l’auteur affirmait que la langue italienne avait été inventée pour le chant, la langue française pour réciter des textes, et la langue allemande pour donner des ordres. Quant à la langue anglaise, pour quelle raison a-t-elle été créée ?