Le thème de ce livre fantastique est la résilience dans un monde déchiré par la guerre. Éliane et Marco Garno, doivent faire face à un monde en plein chaos et à une trahison majeure mettant leur pays en péril. Au cœur de l’intrigue, ils découvrent leur force intérieure, grandissent et vivent des histoires inoubliables.

L’originalité de ce livre réside dans la fusion de différentes mythologies, sans se limiter à une seule, en y ajoutant le fantastique et la magie. Ainsi que l’exploration de thèmes universels tels que la lutte contre l’adversité, la recherche de son identité et les relations complexes entre les personnages.

La participation à la création de ce livre permettra aux lecteurs de découvrir un nouvel univers fantastique, de s’immerger dans une intrigue palpitante et de s’attacher à des personnages complexes. Ils auront l’opportunité de voyager à travers des mondes imaginaires, de ressentir des émotions intenses et de vivre des aventures inoubliables. Ce livre offre une expérience littéraire unique, où la magie et l’action se mêlent pour créer un récit captivant et stimulant.

Extrait :

Avrid, prit la décision de leur faire découvrir le pays dès la première semaine. Avrid pouvait trop se précipiter selon Aésia, qui lui avait dit que les deux enfants auraient besoin de plus de temps pour se reposer et d’abord s’acclimater au palais. Seulement, l’enthousiasme de Marco l’avait finalement encouragé à organiser la découverte.
La première journée, ils visitèrent le Musé, il est à l’est d’Olrintern. Il est à la campagne, mais à dix minutes seulement d’Oricia, une des plus grandes villes. En fait, aucun Chefti n’a jamais autorisé qu’un villageois construise une maison à cet endroit parce qu’il y a un des courants d’eau les plus pure d’Olrintern. Une légende dit qu’un scientifique avait trouvé la muse de toutes ses recherches à cette endroit, et qu’il s’agissait d’une créature féminine à la peau turquoise et qu’elle avait d’énormes pouvoirs. Elle avait créé ce courant d’eau pour assurer la survie au peuple d’Olrintern.
Il n’y avait pas d’étage dans ce Musée, mais c’est une très grande surface avec une centaine de
portes réparties en plusieurs couloirs. Le hall était traversé par un ruisseau, c’est le plus claire qu’on puisse trouver car c’est le premier ruisseau d’Olrintern à avoir était formé, c’est surement, une des théories les plus réalistes, mais on ne saura jamais. Le sol était fait en pierres brunes et les murs en pierres blanches.
Avrid ouvrit une porte à droite qui ouvrait la voie à un couloir qui n’était pas parsemé de tableaux
comme les autres couloirs. Ils prirent ensuite un escalier. Ils arrivèrent en bas et Avrid avait allumé sept chandeliers qui éclairaient la salle entière car ils étaient aussi grands qu’un homme et larges comme deux. Avrid leur disait que les fresques sur les murs interprétaient l’histoire de Tiliah. Il y avait des figurines sur une table en pierre. Il y avait un tigre et un lion, puis deux cygnes au milieu d’eux, un était noir. Il y avait comme un espace à droite, comme si avant il y avait quelque chose. Au-dessus de tout il y avait un aigle d’une taille énorme si bien que ses ailes étaient plus grandes que la largeur de la table et quand il vit l’aigle il vit aussi la flamme et la branche sortant derrière le cygne blanc. Avrid prit un livre qui était posé sur le dos du cygne blanc. La couverture du livre était faite de plumes blanches si bien que posé sur la figurine on ne pouvait le distinguer.

– Tiliah est un monde ou quatre nations règnent. Enfin, il y a le cygne noir qui symbolise Arion, le
pays du roi Edgar, avant il n’y avait pas la fissure sur la table autour de lui. Les deux enfants
regardaient la table et apercevaient pour la première fois la fissure. Elle est apparue lorsque la guerre a été déclarée. Il ouvrit le livre et commença à le lire. « Tiliah est un petit monde où quatre nations règnent… »