Aurora
Aurora est un roman d’anticipation visuel dans un Japon à la fois traditionnel et ultramoderne où mondes virtuel et réel se fréquentent et se rencontrent. Une aventure où se mêlent robotique, questions éthiques sur l’I.A., suspense, crimes et références aux jeux vidéos des années 80.
Je vous propose d’être acteur de la naissance de mon livre en m’aidant à faire de sa parution prochaine, avec les Editions Maïa, un succès. Plus les préventes seront nombreuses, plus mon livre sera promu et diffusé. En retour, vous serez présents dans le livre en page de remerciements et vous recevrez le livre en avant-première, frais de port inclus !
Aurora est un roman d’action propre à enthousiasmer le lecteur fan du Japon et de cyberculture, mais également ceux plus sensibles à la poésie et à la culture nipponne. C’est un roman divertissant mêlant émotion, sexe, crime (forcément crapuleux), clin d’œil aux jeux vidéos et robotique, jusqu’à une échappée spatiale qui donnera une nouvelle dimension à l’I.A. nommée Akira.
En 2030, le programmeur Takashi Matsushita vivant dans un Tokyo futuriste veut peser dans la programmation afin que l’I.A. développée par son entreprise serve réellement l’homme et ne devienne pas une nouvelle arme entre les mains des marchands et des militaires.
En ces temps où tant d’entreprises développent des I.A., l’histoire place le personnage principal face aux questions que tout citoyen est en droit de se poser. Le futur n’est pas encore écrit et nous devrions placer l’éthique et des garde-fous informatiques avant de remettre notre pouvoir entre les mains d’un logiciel.
“Aurora“ divertira le lecteur au fil de rebondissements mêlant thriller, scènes burlesques et touchantes.
Extrait
En sortant du bureau à vingt heures, Mia place le badge de Takashi sur le tourniquet du hall d’entrée, puis elle le range dans sa poche et passe celui d’Okono. C’est alors qu’un gardien la hèle.
– Vous ! crie-t-il en la pointant du doigt.
Elle se liquéfie en voyant l’agent quitter sa console de surveillance et marcher droit sur elle. En plus d’être taillé comme une armoire à glace, il n’a vraiment pas l’air commode. Mia respire si fort qu’elle se déclenche un point de côté. Elle, qui n’a presque jamais enfreint la loi, se sent comme une criminelle. Et légalement, elle l’est. La transpiration s’écoule de ses aisselles et de ses cheveux dans le bas de son dos.
– Que faites-vous ?
Mia est blême. Elle a envie de s’étendre sur le carrelage froid pour reprendre ses esprits. Elle sent les deux cartes dans sa poche et a la présence d’esprit de sortir son propre badge d’une autre poche cousue en-dessous de la première. Elle la tend au garde.
– Elle… commence Mia, ne passe pas.
L’agent la toise sans bouger. Sa taille et le ton qu’il emploie la terrorisent. Elle reste donc ainsi, la carte tendue vers cette statue monstrueuse, reflet de sa culpabilité, qui la fixe avec méfiance. Il y a dix autres tourniquets et la queue qui s’est formée derrière Mia se répartit sur les autres files. Elle est seule face à l’agent, mais tout le monde l’observe plus ou moins ouvertement. Soudain, l’homme agite la tête :
– Vous n’auriez pas dû…
Elle transpire de plus belle et s’apprête à tout avouer quand l’uniforme lui arrache la carte des mains.
– Donnez !
Il observe la carte sous tous les angles et la scanne. Le profil de Mia s’affiche. Elle est tellement heureuse d’avoir passé les cartes de ses amis avant la sienne !
– C’est bien vous.
– Bien sûr… bredouille-t-elle. Elle est peut-être un peu démagnétisée ?
Le garde la passe sur le tourniquet. La lumière passe au vert. Il la lui tend sans autre forme de politesse.
– Vous n’auriez pas dû… la poser à l’envers sur la machine. Il y a une façon précise de poser les cartes ! On ne vous apprend pas ça à l’université ?
Elle ne répond pas. Il retourne vers sa guérite.
Mia prend une profonde bouffée d’air après une trop longue apnée, et se dirige vers la sortie au radar.
– Mademoiselle Miyagi ! lui crie l’agent. La prochaine fois, venez me voir immédiatement.
– Sans faute, fait-elle sans arrêter de marcher.
Une fois hors du champ de vision de l’agent, elle a tout juste le temps de relever ses cheveux avant d’épandre sa terreur sur le trottoir.
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Les étapes de création
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