Quand on naît qu’un concours de circonstances – La résilience
Tyna Esteves est mon nom d’auteure et j’ai presque un demi-siècle d’histoires à vous faire découvrir.
En 2018, grâce à Lola, j’ai découvert le sirop non de la rue, mais de l’écriture ! Lui prêtant mes descriptifs, me glissant dans sa peau, suivant ses traces, faisant des recherches sur ce tueur d’âmes ; le Manipulateur Pervers Narcissique qui l’avait broyée. J’ai alors écrit son témoignage.
De cette expérience est ressorti qu’un individu qui s’attaquerait gratuitement à un autre, aurait été malheureux dans son enfance ! Alors, « Quand on « naît » qu’un concours de circonstances » m’a paru comme une évidence. Il démontre que l’on peut être massacré dans l’enfance sans pourtant dérailler, reproduire ou perdre cette empathie qui nous permet de nous élever sans avoir le besoin d’attenter à la vie et à l’intégrité de l’autre !
Je fais aujourd’hui appel à vous pour réaliser ensemble ce projet d’édition. Je vous propose de contribuer à la naissance d’un livre et de devenir des partenaires pour cette création. Votre nom en tant que contributeur sera présent dans le livre que vous recevrez en avant-première !
Crédit photo : Jean-Luc Gautier
Ce roman met en lumière la capacité qu’a l’être humain aussi petit qu’il soit, à résister aux agressions de la vie ; « La résilience » : C’est l’histoire d’une petite fille qui n’aurait jamais dû voir le jour ! Ses parents, Luisa et Tony n’auraient jamais dû se rencontrer. Quelques centaines de kilomètres les séparaient. Ils venaient également de deux mondes totalement différents. En commun, ils avaient juste une croyance !
Nina est née avec des problèmes de santé ! Elle n’aurait pas dû, non plus se réveiller d’un coma, à l’âge de dix ans, et pourtant… ! Jour après jour, elle va s’accrocher à une vie aussi fragile qu’incertaine. Continuer à respirer, alors que tout autour d’elle l’asphyxie ! Contre vents et marées, Nina va lutter, souvent serrer les poings, puis résister de toute sa force cheminant à tâtons.
La résiliente va ainsi prouver à tous ceux qui l’ont malmenée… ceux qui ont dressé des murs sur son chemin, au lieu de ponts, même bringuebalants, qui auraient pu lui éviter bien des chutes, qu’elle a tout à fait le droit d’exister et qu’ils ont eu tort de s’acharner. Quand on veut, on peut… !!!
« Luisa ne rigolait pas du tout. Sans un mot, elle s’est approchée juste à quelques petits centimètres du visage de sa fille, si près, qu’une forte et désagréable odeur est parvenue à ses narines. Nina a tout de suite reconnu la provenance. Sa grand-mère avait bu du vin à midi et avait ensuite la même haleine. Par contre, ce qu’elle n’avait pas prévu, c’est que la main qui s’est levée subitement en sa direction, ne venait pas lui caresser son petit visage déconfit de fatigue et de chagrin. Non, du tout ! Cette main, la main de sa mère, qui s’est ensuite fermée formant un poing, est venue lui écraser avec force son petit nez et lui déclencher un ru d’un liquide chaud, qui s’est aussi sec forgé un chemin, en direction de sa petite bouche. Pendant quelques minutes, Nina a été complètement sonnée et a vu sa mère dans le flou, s’éloigner comme si de rien n’était. Au départ, elle croyait, s’est demandé si elle était vraiment sortie de son état comateux, ou bien, si elle ne se trouvait pas encore dans un de ces songes cauchemardesques, comme ceux qu’elle faisait depuis qu’elle avait appris que son ami Tiago avait commis l’irréparable et se disait que, pour le coup, il fallait juste se réveiller pour que tout s’arrête. Non, hélas elle ne rêvait pas ! La douleur de la plaie ouverte, provoquée par la bague de fiançailles, qui avait appartenue à son arrière-arrière-grand-mère maternelle et que Luisa, sa mère avait eu en héritage, puisqu’elle la portait à son annulaire, est venue la fouetter, lui contracter le nez par à-coups finissant par lui donner un mal à la tête intenable. Est venu ensuite, le goût du sang gluant qu’elle a dû à nouveau recracher, avant d’exécrer la soupe de légumes, les pommes de terre vapeur avec le pavé de morue arrosés d’huile d’olive aromatisée à l’ail que la famille produisait, et la banane qu’elle n’a pas eu le temps de finir. Repas, qui n’était pas perdu pour tout le monde ! Puisque son chien-loup l’a ingurgité en trois ou quatre coups de langue. Le goût, le côté gluant de son propre sang, les douleurs, l’aigreur de son petit estomac qui n’avait plus rien à rendre, l’ont ramenée à une bien triste réalité ! En l’espace de quelques heures, comme d’un coup de baguette magique, Nina est passée de la “Belle au bois dormant” de son ami Tiago à la petite “Cendrillon” chez une vilaine maman, pas gentille ! »
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