Mon livre porte sur de la romance mais pas que, il y a du suspens un côté dark de l’histoire, il aborde des sujets sensibles, énormément de sujet tabou qui ne devrait plus être en 2022. Il a une part d’originalité car c’est un monde moto, voiture, course clandestine etc…
C’est un livre avec énormément d’amitié, je pense que même si nous traversons le pire, être bien entouré peut suffire à l’affronter un peu mieux.
Si les gens participe à sa création et bien mon livre pourra montrer au gens qu’il n’est pas impossible de se relever après le pire.

Extrait

« Je profite de ses sensations que j’adore retrouver sur ce deux roues, le vent sur ma peau, la fraicheur qui s’insinue à l’intérieur de mon blouson. Le sentiment de liberté se repend en moi et je respire à nouveau.

J’ai dépassé mon adversaire depuis deux minutes et c’est à la moitié de la course que je me rends compte que je n’ai plus de frein, impossible de faire ralentir cette putain de moto.

-Iker ? Dis-je sans essayer de paniquer

-Oui beauté ?

-J’ai plus de freins.

-Quoi ?

Je sens dans sa voix l’inquiétude et c’est à ce moment-là que le stress m’envahit, je suis comme tétanisée.

-Ma moto ne freine plus Iker ! Je suis à 160 Km/h je vais beaucoup trop vite pour trouver une solution.

-Calme-toi, je prends ma moto, je te rejoins sur la course.

Je ne réponds rien, tentant désespérément de calmer ma respiration, le temps me paraît interminable quand j’aperçois Iker dans mon rétroviseur, je retrouve un peu d’oxygène.

Il se met à mon niveau, nous roulons à la même allure, je n’arrive pas à me calmer, je vais faire une crise d’angoisse et mon interlocuteur s’en rend compte.

-Ok mon cœur, tu vas respirer, cale-toi à mon rythme et on respire ensemble.

J’essaie tant bien que mal.

-Je vais mourir Iker.

-Tant que je suis ici avec toi, tu ne mourras pas beauté.

Ma respiration est au rythme de la sienne et nous roulons encore quelque mètre quand j’entends dans mon casque.

-Tu vas m’écouter attentivement, je vais approcher ma moto au plus près de la tienne et tu basculeras à l’arrière de la mienne, on a une ligne droite dans quelque mètre, je pourrai enlever les mains de mon guidon et t’aider à changer de moto.

-Mais la mienne sera morte Iker, elle partira dans le fossé, je ne veux pas.

-C’est sois la moto sois-toi et putain le choix est vite fait, alors monte sur cette putain de moto Imaé. 

Nous sommes sur la ligne droite en question et Iker se rapproche, il lâche sa main droite de sa moto pour la posée sur mon bras. Quant à moi je pose les deux pieds sur l’endroit où j’étais assise et mes mains son toujours sur mon guidon, le deux-roues de Iker et à quelques centimètres du mien et je décide qu’il est temps de basculer sur sa moto, je me tiens à son bras, puis sur son épaule et j’atterris derrière lui.»