L’improbable porte-bonheur

De formation technique, rien ne me prédestinait à l’écriture mais comme beaucoup d’entre nous, je caressais un rêve, celui de colorer ma vie d’une touche créatrice, artistique.
Et plus le temps passait et plus le désir de « réveiller » des histoires grandissait en moi jusqu’au jour où l’envie a été si forte que Je me suis lancé !
Ecrire, c’est également s’inventer d’autres existences, d’autres amours, donner corps à des personnages que l’on aurait aimé être ou connaitre.
Ecrire, quel bonheur !

Je vous propose d’être acteur de la naissance de mon livre en m’aidant à faire de sa parution prochaine, avec les Editions Maïa, un succès. Plus les préventes seront nombreuses, plus mon livre sera promu et diffusé. En retour, vous serez présents dans le livre en page de remerciements et vous recevrez le livre en avant-première, frais de port inclus !

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Projet abouti !
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Jusqu’où peuvent conduire la jalousie et la cupidité lorsqu’on est rejeté ?
Au crime ! Mais pas toujours celui recherché…

Cette histoire ne se résume pas à une seule enquête policière avec ses rebondissements et un dénouement à la fois heureux et, pour partie, inattendu.
Elle raconte également des amours qui naissent, renaissent et le brisement de couples. Ces péripéties nourrissent l’intrigue au travers de passages tristes ou comiques, de scènes sentimentales ou suggestives, de moments joyeux ou difficiles. L’action gravite autour d’une héroïne attachante et talentueuse dont les immixtions parfois rocambolesques n’ont d’autre but que de réconcilier des âmes en peine.
Si certains personnages sont abjects, d’autres font preuve d’esprit de famille, de respect et du sens de l’honneur en s’accordant parfois quelques libertés d’interprétations contraires à l’usage établi !

Aujourd’hui, le mélange des genres, policier, sentimental, scènes de vie recueille l’assentiment de plus en plus de lecteurs. Ce livre s’inscrit dans cette tendance.

Extrait

Le capitaine remercia la passante. Il était perplexe, Mélissa était partie avec un amoureux transit. Elle était bien vivante et si le ressenti de la vieille dame était bon, tout allait pour le mieux pour elle. En plus, elle était débarrassée d’un mari encombrant… Ce qui faisait d’elle la suspecte idéale pour tout policier !

D’ailleurs BLERIOT lui fit rapidement part de ses réflexions…

Etaient-ce de charmants amoureux ou un couple démoniaque qui avait occis un mari gênant et quatre autres personnes par la même occasion ?
MALHERBES se garda de sourire. Il connaissait bien Mélissa, cette éventualité n’avait aucun fondement. L’amie de sa fille n’aurait jamais commis de telles atrocités ou elle aurait bien changé. Et pourquoi l’aurait-elle fait puisqu’elle était en instance de divorce ?

Il reviendrait lundi, avec l’espoir de la voir et d’obtenir des éclaircissements sur son emploi du temps le soir des crimes. La jeune femme était toutefois bien mystérieuse, une adresse confidentielle, un portable muet. Il avait hâte de pouvoir l’interroger. Il s’éloigna songeur, oubliant d’aller jeter un coup d’œil aux boîtes aux lettres pour s’assurer que Mélissa habitait bien ici. Son adjoint, perdu dans ses réflexions, commit la même négligence. Les deux policiers remontèrent dans la voiture et prirent la direction du poste de police. Donald venait de les prévenir que Max les attendait et que le propriétaire du jardin s’était présenté spontanément et voulait faire une déposition.

La vieille dame les regarda s’éloigner et repartit lentement. Au loin, une masse sombre venait perturber son imaginaire. Que cela pouvait-il bien être ? On aurait dit la silhouette d’un éléphant mais en pleine rue, c’était bien improbable. Elle discernait une ombre s’agiter comme s’il s’agissait de l’oreille du pachyderme et une sorte de chose qui ressemblait à s’y m’éprendre à la trompe de l’animal.
Elle avait encore oublié ses lunettes de loin et à plus de deux cents mètres, sa vue lui jouait des tours pendables. Elle devait le confesser, de près ce n’était guère mieux et comme elle ne supportait pas les verres progressifs, elle passait son temps à changer de verres quand elle ne les oubliait pas…

Au bout de cent mètres, elle découvrit ce qui l’avait bernée. Un échafaudage sur lequel s’agitait un ouvrier. Il jetait des gravas dans la longue goulotte articulée qui descendait directement dans une petite benne. Il se dépêchait, il était presque treize heures et il n’avait plus le droit de faire du bruit.

  • Les étapes de création

    Mon objectif est d'atteindre 990 € de pré-ventes afin de rendre possible la réalisation des maquettes, la correction, l'impression et la promotion. C'est pourquoi je fais appel à vous, auteurs, lecteurs et amoureux des mots ! Votre précommande permettra à mon projet de devenir réalité grâce à une équipe de professionnels.