« Le monde de Méphisie » est un récit de science-fiction qui relate l’amitié et le courage de trois adolescents. Transportés par la magie dans un monde parallèle, ils se retrouvent mêlés au sein d’une guerre planétaire. Tout au long de leur voyage, les trois amis vont faire la connaissance de personnages attachants et émouvants.

En participant à la création de mon livre, vous aurez un roman original qui vous fera voyager à travers un monde à la fois magnifique et terrifiant. Où la terreur, l’horreur côtoient étroitement l’espoir et l’entraide.

J’espère vous voir bientôt dans mon univers !

Extrait

Une fois le seuil de l’entrée franchit un spectacle vraiment bizarre s’offrait à leurs yeux. Il était vrai que ce monde ne ressemblait nullement au leur, celui de la Terre. On ne distinguait ni collines ni fleurs de n’importe quelle variété. Le sol ressemblait étrangement à d’immenses feuilles de laurier. Le paysage qui s’offrait à eux était un horizon de nature, à perte de vue s’étendait des feuilles de laurier qui apparemment servait de sol. Les feuilles étaient fraîches et très grandes. Elles avaient vraiment l’air coriaces et solides comme du béton. Tout était vert et cela devait être un monde paisible et magnifique avant cette invasion. C’était un monde qui devait être pacifique et rempli de joie.

À la place de ce qui devait être un monde de paix, régnaient un bruit sourd et un vent glacial, qui reflétait la terreur et la mélancolie d’un monde déchiré par la peur et la mort. Il n’y avait pas âme qui vive, pas un insecte ni même un oiseau ne survolait les lieux. Le ciel était obscurci par un voile terne et sombre qui peuplait l’ensemble du firmament.

Prudemment, nos trois jeunes aventuriers décidèrent d’un pas incertain de commencer leur chevauchée à travers ce monde étrange. D’un regard inquiet vers un avenir désespéré, ils se mirent en route sur les traces d’un sol qui leur paraissait vraiment peu fiable.

Ils passaient de feuille en feuille, sa texture était lisse et par endroit les séquelles de récentes batailles laissaient apparaître des crevasses. En guise de sol, les feuilles de laurier aux dimensions disproportionnées offraient des fondations solides à leur escapade nocturne. Il faisait déjà nuit lorsqu’ils furent sortis du Temple et l’atmosphère s’était rafraîchie de plusieurs degrés. Tout leur semblait tellement mystérieux qu’ils avaient encore du mal à réaliser où ils étaient et ce qu’ils étaient en train de faire.