YEPA, princesse de l’hiver
Je me présente Sébastien Fernandez. J’ai 39 ans, je travaille dans l’Éducation nationale. Je vis dans les Vosges où est née mon inspiration. J’aime la lecture et notamment des livres d’aventure des auteurs comme Jack London, Nicolas Vanier ou encore Henry David Thoreau. L’écriture de YEPA est venue par la suite comme un prolongement de ce monde rêvé.
Je vous propose d’être acteur de la naissance de mon livre en m’aidant à faire de sa parution prochaine, avec les Editions Maïa, un succès. Plus les préventes seront nombreuses, plus mon livre sera promu et diffusé. En retour, vous serez présents dans le livre en page de remerciement et vous recevrez le livre en avant-première !
Passionné du Grand Nord, d’aventure, de nature, des loups, de la vie sauvage, j’ai voulu transporter et faire rêver des lecteurs dans un paysage au décor Alaskien. Ce roman se déroule dans un environnement hostile qui ne laisse pas place au hasard. Il relate l’histoire d’un homme, désabusé par la vie citadine, qui souhaite vivre, libre, au plus près de la nature. Il était loin de s’imaginer pouvoir vivre des émotions si intenses loin de tout et pourtant. La rencontre avec un loup bouleversera sa vie.
J’ai souhaité, par cette œuvre, retranscrire le lien qui peut unir deux des prédateurs les plus dangereux du Grand Nord : l’Homme et le Loup. Par les temps troublés par ce virus, je souhaite amener les lecteurs à s’évader dans un monde plus libre, plus sain, plein d’amour et d’espoir. Ce roman mêle plusieurs émotions comme l’extase face à la beauté de la Nature, des moments de bonheur, le carpe diem, la puissance de l’amour, la tristesse, mais aussi amène à une autre vision du Loup…
Extrait
Trois ans plus tôt…
Dix ans, quatre mois et 28 jours déjà que je me suis installé sur cette Terre merveilleuse. Jamais je n’aurai cru possible de trouver un tel paradis. J’ai tout ce dont j’ai besoin : une belle forêt, un lac immense regorgeant de poissons, une cabane qui pourrait être mieux, mais qui me convient très bien, la solitude qui me manquait, le chant des oiseaux, le calme, le calme, le calme…
Voilà ce que Nicolas, Niclass pour les autres, avait écrit dans son carnet ce matin-là en se levant à quelques jours de ses 32 ans.
Comme tous les matins, il se réveillait aux aurores, au chant des oiseaux, au son des bruits dans la forêt qui s’animait, au clapotis de l’eau du ruisseau non loin. Chaque jour, c’était pareil. Il s’extasiait sur cette nature florissante. Ses yeux se remplissaient de toutes ces merveilleuses choses qui l’entouraient.
L’Alaska était pour lui une terre le sauvant de son ancienne vie citadine où la vie allait bien trop vite à son goût. Il n’aimait ni le béton, ni les voitures, ni les trains, ni les avions, ni le travail rébarbatif, ni la pollution, ni la capitalisation, ni l’hypocrisie, ni la méchanceté, ni la compétition, ni la mesquinerie, ni l’heure, ni les calendriers, ni les usines, ni les magasins, ni la viande sous cellophane, ni les légumes congelés, ni les poissons sur les étalages, ni les gâteaux, ni les sucreries…, ni les gens et leurs mauvaises manières.
En Alaska, rien de tout ça…
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Les étapes de création
Mon objectif est d'atteindre 990 € de pré-ventes afin de rendre possible la réalisation des maquettes, la correction, l'impression et la promotion. C'est pourquoi je fais appel à vous, auteurs, lecteurs et amoureux des mots ! Votre précommande permettra à mon projet de devenir réalité grâce à une équipe de professionnels. Votre appui me sera précieux et vous recevrez vos contreparties dès la fin de la campagne.