La fabuleuse invention du marquis de Beaucomte
Je suis né à Paris, et j’ai passé mon adolescence au Japon. Plus tard, j’ai étudié à Dublin la psychanalyse de l’art et les sciences humaines. Conférencier de profession, je travaille à l’Opéra Garnier, aux Invalides, et j’organise des visites de quartiers en français et en anglais sur les mystères et anecdotes de Paris.
Je suis passionné d’histoire, et le décor enchanteur de l’opéra m’a inspiré pour les premiers chapitres du roman. Passionné de voyages, j’ai une préférence pour Venise la romantique et ses palais gothiques. D’ailleurs, la deuxième partie de l’ouvrage se passe à la Ca’ d’Oro, palais vénitien au bord du grand canal.
Je fais aujourd’hui appel à vous pour réaliser ensemble ce projet d’édition. Je vous propose de contribuer à la naissance d’un livre et de devenir partenaires de cette création. Votre nom en tant que contributeur sera présent dans le livre que vous recevrez en avant-première !
J’ai écrit ce livre, car j’ai toujours rêvé de voyager dans le temps pour voir comment nos ancêtres vivaient et dans quel décor ils évoluaient. La machine à remonter le temps, étant un rêve impossible, j’ai donc, par le pouvoir de l’imagination, créé un héros voyageant dans différentes époques de l’Histoire.
J’ai sélectionné certaines époques par goût personnel. La Belle époque : pour son raffinement, son élégance (belles enseignes des boutiques, haut-de-forme, etc. pour les dandys de ce temps-là, belles calèches, etc.). Le XVIIIe siècle (Venise) : pour ses intrigues, son raffinement, son côté frivole, ses costumes, son côté théâtral… La Renaissance (Paris) : pour son côté mystérieux et occulte, ses étranges et macabres cabinets de curiosité, le goût aussi pour la divination, l’alchimie et la magie noire. L’Empire (Paris) : ses inventeurs, les intrigues politiques à la Cour des Tuileries, et dans la Société Napoléonienne, ses hommes et femmes hauts en couleur : Vidocq, Fouché, « madame sans gêne » (la duchesse de Dantzig) et le « diable boiteux » (Talleyrand).
Ce livre met en scène un jeune homme de notre temps, rattrapé soudainement par sa vie antérieure à la Belle époque avec l’apparition d’une dame blanche dans l’opulent amphithéâtre du palais Garnier. Au fil des pages, il va rencontrer des personnages rocambolesques et hauts en couleur : un abbé fort érudit et libertin dans l’esprit du XVIIIe siècle, un cocher ingénieux et intriguant qui cultive l’art de se déguiser pour arriver à ses fins. On va donc les retrouver à Venise au temps de Casanova et Goldoni, dans le Paris de la Saint-Barthélemy, puis sous Napoléon. Chargés de missions. Et parmi ces missions : la recherche de la pierre des alchimistes, un élixir particulier…
Ce texte est original car notre héros a un destin qui bascule complètement, car il est rattrapé par sa vie antérieure à la belle époque, et il décide, séduit par sa nouvelle époque d’y demeurer. Il abandonne donc son siècle.
De plus, l’originalité du texte réside dans le fait que mes personnages sont hors norme, pleins de surprises, passionnés et audacieux. Le fait qu’ils voyagent dans le temps, les rend originaux. Ils n’ont aucune difficulté à s’adapter aux mœurs des différentes époques traversées grâce au miroir de l’inventeur de la Renaissance. Il y a également une certaine originalité, dans la mesure où nos personnages rencontrent des êtres atypiques : des mages, des sorciers, des alchimistes, des espions du pouvoir.
« Et voilà que soudain, par enchantement, le magnétisme du regard l’attire vers lui. Une force irrésistible, inexplicable le guide vers le portrait. Étonné, il découvre, cachée derrière la toile, une liasse de papiers où il est écrit ceci :
À ma descendance,
C’est moi, le portrait qui vous écrit. Au fil de ma longue vie, j’ai consacré tout mon esprit, toutes mes forces vives à la science et à la magie. J’ai été un ingénieur émérite semblable au grand Léonard de Vinci. Ce génie universel qui a conçu, imaginé des prototypes de machines volantes et sous-marines, absolument extraordinaires.
Cela dit, sachez aussi que j’ai été un magicien, disciple d’Albert le Grand, de Cologne, et de Nicolas Flamel.
Le premier a inventé une tête parlante répondant aux questions posées, et l’autre la fameuse pierre philosophale qui transmute les vils métaux en or.
Un vieux rêve ancré aux abysses de l’âme humaine, ne demeurant quoi qu’on en dise, qu’un vil désir d’enrichissement.
Magicien, oui, tel était mon état, et pour mon plus grand malheur à l’époque de la Renaissance.
Ce siècle du renouveau artistique, de raffinement, d’élégance, de progrès, avait aussi sa part d’obscurantisme, d’aveugles passions religieuses, d’intolérance à l’égard des magiciens et des hommes de science ou de lettres, qualifiés d’hérétiques aux yeux du clergé inquisiteur.
On en a brûlé plus d’un sur le bûcher de la place Maubert, dans notre vieille Lutèce.
Rêvant depuis ma plus tendre enfance de voyager dans un lointain passé afin de vivre plusieurs vies ainsi qu’un moine tibétain ou au théâtre. J’ai fini – dans l’intimité de mon laboratoire – par concevoir le moyen de locomotion le plus extraordinaire qui soit : le miroir du temps, semblable à une machine à remonter le temps.
Seulement hélas, les commérages allaient bon train, certains soirs, des regards pénétrants rôdaient sous les fenêtres de mon cabinet d’études et de curiosités, me soupçonnant moi le magicien, de produire loin des foules l’œuvre du diable. »
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Les étapes de création
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