Entretien avec Constance Thiefaine auteure de Canines et sortilèges

Quel a été votre sentiment quand votre livre est paru ?

Quand mon livre est paru, je me suis senti tellement émue que j’en ai pleuré. J’ai aussi un énorme sentiment de reconnaissance envers les éditions Maïa, pour m’avoir donné ma chance.

Quels ont été les retours des premiers lecteurs ? Que vous ont-ils dit sur votre livre ?

Les premiers retours des lecteurs sont plutôt bons, ils attendent la suite avec impatience, qui ne serait tarder. Certes des petites choses à améliorer par-ci, par-là, mais de très bonnes critiques pour le moment.

Que retenez-vous de cette expérience d’édition par rapport à votre travail d’écriture ? En avez-vous tiré des enseignements ?

Je retiens de cette expérience d’édition, que mon travail sur ce premier tome a fini par payer. Que j’en tire forcément un enseignement, de par mon parcours. Ni connaissant pas grand-chose au monde de l’édition, cela m’a permis d’en apprendre davantage sur celui-ci.

Quelle est l’originalité de votre livre selon vous ? A-t-elle été perçue par vos premiers lecteurs ?

L’originalité de mon livre selon moi, serait que j’ai voulu faire passer certains messages et certains sentiments. Le fait de parlé du harcèlement scolaire ou bien de la perte d’un proche. Mais aussi pour l’originalité de ce monde dans lequel les lecteurs se plongent.

Comment s’est passé votre travail d’écriture ? Avez-vous une méthode pour écrire ? Des rituels ou des astuces ?

À vrai dire, je n’ai pas vraiment de méthode pour écrire. Je ferme les yeux et je m’imagine les scènes, tel qu’un film qui se déroule dans ma tête. J’ai tout de même un carnet pour chaque histoire et chaque tome, où je note mes personnages, certaines idées et certaines scènes. Ensuite j’écris comme cela me vient. Selon mes envies et les humeurs.

Envisagez-vous d’écrire un autre livre ? Si oui sur quoi avez-vous envie d’écrire pour ce prochain livre ?

Oui, bien sûr que j’envisage d’écrire d’autres livres. D’abord le tome 2 de canines et sortilèges. Puis vers d’autre projets, d’autres univers, qui pour certains déjà commencé. Je ne resterai pas forcément dans la fantasy, mais aussi des romans d’amour, ou dans des mondes post-apocalyptique.