La Paix commence là où cesse l’attente
de François Vecchi-Muller
Indonésie. Un étranger est retrouvé vivant sous les décombres d’un tremblement de terre, amnésique. L’homme est le caméléon parfait, capable de parler toutes les langues existantes et de reproduire n’importe quelle activité humaine. Les villageois le baptisent Samarti, « Celui qui sait », alias Sam. Seul signe distinctif : un tatouage géorgien au laser sur son avant-bras.
Sam croise la route de Viviane Gadot, une œnologue chercheuse pour le compte de Yao Tao, un milliardaire chinois, pionnier de l’intelligence artificielle. Viviane, jeune veuve, apprend à Sam qu’une pandémie inconnue, « La main de dieu », détruit en quelques secondes les ceps de vignes, de manière complètement aléatoire partout dans le monde. Du Chianti au Champagne, de la piquette au grands crus, tous les vins sont devenus toxiques, sans aucune explication scientifique. Sam est capable de sentir la frappe imminente du fléau sur les vignobles. Comprenant que l’amnésique est son ultime espoir, Tao l’engage en échange de son aide pour retrouver son identité. Les examens médicaux pratiqués sur Sam révèlent qu’il porte en lui l’ADN de… 400000 personnes !
Découvrez un roman hors normes, une plongée vertigineuse dans l’univers du vin et de la génétique, qui repousse à chaque page les limites de la vie, de la mort et de l’amour…
Et vous, jusqu’où iriez-vous pour ressusciter ce qui n’existe plus ?
Je vous propose de participer à la naissance de mon livre en m’aidant à faire de sa parution prochaine avec les Éditions Maïa, un succès. Plus les préventes seront nombreuses, plus il sera promu et diffusé. En retour, vous y graverez votre empreinte et y serez mentionnés en page de remerciements (selon accord). Vous recevrez ainsi le livre en avant-première, frais de port inclus. Merci à tous pour votre soutien dans la réalisation de ce beau projet !
L’auteur revient aujourd’hui avec un roman d’aventures hors normes, mêlant amour de la vigne, génétique et réflexion sur le sens de la vie et de l’amour. D’une écriture aussi addictive qu’une série Netflix, François Vecchi-Muller entraîne son lecteur de la Chine aux vignobles bordelais, de la Corse à la Géorgie, sur fond de techno-thriller et de quête initiatique. Avec des références scientifiques dignes de Michael Crichton et une vision inspirante aussi sensible de L’Homme qui voulait être heureux l’auteur signe ici un roman moderne, palpitant et optimiste, lorsque tout semble perdu.
Genèse de l’histoire
La première idée que j’ai eu de mon roman, c’est celle d’une homme émergeant des décombres, après le tremblement de terre en Indonésie, en août 2018. Je me suis demandé comment réagirait un homme qui se réveillerait amnésique, face à une situation où tout autour de lui s’écroule. De là est née cette histoire qui traite de la vie, de l’amour et de la disparition de ce qui a été la toute première domestication agricole de l’humanité, la vigne, avec cette question : « Et vous, comment réagiriez-vous s’il n’y avait plus une seule goutte de vin sur Terre » ? Au-delà de l’hommage rendu aux travailleurs de la vigne et de la terre, j’ai croisé le chemin de personnes qui ont perdu un conjoint, un enfant, et qui ont malgré tout retrouvé le goût de vivre. J’espère que cette histoire apportera un peu de bonheur et de réconfort.
Extrait
– Bonjour.
Sam sursauta. Sans qu’il l’ait entendu arriver, un vieil homme s’était assis à moins d’un mètre de lui. C’était un aborigène barbu, aux cheveux gris et hirsutes. Il avait la peau sombre et les traits
marqués par la vie. Il semblait très âgé, dans les quatre-vingt ans. Il portait pour seuls vêtements un bermuda et un T-shirt aussi poussiéreux l’un que l’autre. L’inconnu regarda Sam, le visage vide de toute émotion.
– Je suis Jono.
– Samarti.
– Tu n’es pas d’ici et tu parles ma langue. Tu es donc pas comme les autres blancs, déclara le vieillard. Si tu parles comme moi, c’est que je suis mort ou que les esprits l’ont voulu.
– Je ne sais quoi répondre, répliqua l’européen, confronté au paradoxe de son don. Il réalisa que si son cerveau traduisait automatiquement la langue de ses interlocuteurs, il n’en savait pas pour autant l’origine ni le nom.
– Je ne sais pas comment je fais cela, mais cela a forcément un sens.
– Ma langue est le gaagudju. Je suis le seul natif à la parler. Le dernier avant moi était Big Bill Neidjie. Il est mort il y a des décennies. Certains ont dit que la langue était morte avec lui, car j’ai quitté ma terre il y a des lunes, pour venir ici. Je n’avais plus ma place dans mon clan. C’est une longue histoire, et tu n’as pas le temps d’écouter. Pourquoi es-tu ici ?
– Je suis ici parce que la vigne, partout dans le monde, se meurt. Et parce que je ne sais rien faire d’autre qu’essayer de la sauver.
– Ici aussi, la vigne va mourir. Très bientôt. Parce que les hommes l’ont voulu. Et toi, la nature t’a choisi pour que tu sauves les hommes. Elle t’a choisi parce que tu connais la vie et que tu connais la mort.
– Mais je n’ai rien d’un sauveur ! Je ne sais même pas qui je suis.
– Peu importe. Tu as un long chemin de vie derrière toi. Un chemin bien plus long que ta propre existence. Le chemin devant toi t’a emmené loin, à cet endroit que tu as toujours voulu. Les signes sont là. La terre, l’eau, le ciel te parlent.
(…)
– Je savais que j’aurai dû vendre ces putains de vignes avant la crise, bordel ! cria-t-il, en donnant un violent coup de pied dans le premier cep à sa portée.
CRRRRRRRAAAAAAAAAAAAAAAC !
Un craquement effrayant, venant de nulle part et de partout, déchira la campagne. Des centaines, des milliers de plants de vignes se brisaient de l’intérieur, comme broyés par autant de mains invisibles ! En un battement de cil, toute la végétation vinicole, littéralement lyophilisée, tomba en putréfaction. Les quatre témoins de ce spectacle dantesque étaient pétrifiés, saisis d’effroi par le son autant que par la poussière provenant de l’effondrement des plants. Viviane et Sam se jetèrent dans les vignes, pour sauver ce qui pouvait l’être. En vain. Au bout de quelques minutes interminables, ils réapparurent couverts de terre, toussant, portant chacun une brassée de bois mort dans les bras. L’amnésique s’avança vers Mel Laurie, tituba et s’effondra, inconscient. La française hurla.
– Sam ! Pas toi aussi !
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Les étapes de création
L'objectif de cette campagne est d'atteindre 990 € de préventes, qui participeront à la diffusion et à la promotion du livre lors de son édition officielle. Auteur(rice), lecteur(rice) et amoureux(se) des mots, votre collaboration est valorisée pour faire de ce projet tant attendu, une belle réussite, grâce à l'équipe professionnelle des Editions Maïa. En précommandant, vous gravez votre empreinte dans cette œuvre originale et y inscrivez votre nom*. Vous recevrez vos contreparties dès la fin de la campagne de prévente. *(selon accord)