Texte inédit de Michel Altian – Spin off

 

Publié le 29 avril :

Comme il est indiqué dans la préface, la trame du roman a été bâtie autour de plusieurs thèmes :

– La famille, qu’elle soit de sang ou de cœur.

– L’humanisme et la fraternité universelle induisant des idées sociétales idéalistes.

– L’écologie et les applications qui peuvent en découler dans de nombreux domaines : en voici quelques exemples :

Publié le 02 mai :

  • La mer et les dangers inhérents à la pollution,
  • L’agriculture avec les conséquences du remembrement et dans le même thème, l’utilisation des produits phytosanitaires et leur incidence sur la biodiversité et en particulier sur les insectes pollinisateurs, dont les abeilles particulièrement touchées.

Publié le 06 mai

  • Les industries utilisant les énergies fossiles et tout ce qui émet des gaz à effet de serre contribuant au dérèglement climatique, lui-même responsable d’un cortège de catastrophes sur toute la surface de la Terre. 
  • L’industrie automobile avec la transformation du parc automobile aux moteurs à énergie fossile en moteurs électriques moins polluants mais présentant eux-mêmes des dangers dans la production des batteries et leur élimination, tant au niveau humain qu’au niveau écologique.

Publié le 09 mai

L’éternelle lutte du Bien contre le mal est présente dans énormément d’écrits, et même si elle n’est pas explicite comme dans bon nombre de romans, y compris la grande majorité des romans policiers, elle est tout de même implicite puisque ce sont toujours les « bons » qui triomphent. 

Dans mon roman, elle constitue le lien qui m’a permis de progresser dans l’élaboration de l’histoire, et que l’on soit croyant, quelle que soit la croyance, ou non croyant, le « surnaturel » a toujours provoqué un questionnement, quoi qu’on en dise.

L’originalité du roman, sans  en trahir l’histoire, est dans le fait que le surnaturel  côtoie les personnages tout en restant effacé.

Publié le 14 mai

Une autre idée qui m’a fait avancer dans l’écriture se situe dans les pouvoirs du cerveau humain. Nous ne connaissons à l’heure actuelle qu’une infime partie de ces pouvoirs. Certaines personnes possèdent des facultés qualifiées par certains de spéciales, par d’autres de paranormales, mais que je qualifierais pour la trame du roman, d’extra-ordinaires dans le sens littéral du terme pour bien les différencier de celles de personnes du commun des mortels. 

Publié le 19 mai

Les personnages présents dans ce roman possèdent pour la plupart un HPI, Haut Potentiel Intellectuel et le plus grand nombre d’entre eux sont des jumeaux dont la singularité est qu’ils sont « connectés » par la pensée.

Dans ce premier opus commence à apparaitre aussi une autre caractéristique, la transmission de pensée, puis la télépathie, plus amplement développée dans les romans suivants, grâce justement à la singularité des jumeaux.

Publié le 24 mai

Le thème que je veux fort dans mes romans apparait comme trait principal dans le caractère de ses personnages : le machisme sous toutes ses formes allant jusqu’à la misogynie, ainsi que la « supériorité » de l’homme, prônée dans  certains milieux et certains pays pour asservir les femmes ou en faire des esclaves, doivent être bannis.

Publié le 29 mai

 L’humanité doit rendre à la Femme la place  qu’elle est en droit de tenir dans la société : l’égale de l’Homme. Tous les hommes doivent en prendre conscience. Pour en quelque sorte argumenter ce réquisitoire contre cette injustice majeure, elle y est même mise en lumière dans mon roman. 

Je voudrais citer à ce propos ma première réflexion personnelle incluse dans la préface :

« Sans l’amour d’une mère, que deviendrait le fils ; sans l’amour d’une amante, que ferait l’homme ; sans la fille, femme en devenir, que deviendrait l’humanité ? »

Publié le (4 juin)

De tous temps la femme a été le centre d’intérêt de nombreux écrivains, poètes etc.

Je fais suivre ma réflexion personnelle précédente d’une citation de Chateaubriand : 

« Sans la femme, l’homme serait rude, grossier, solitaire, et il ignorerait la grâce qui n’est que le sourire de l’amour. La femme suspend autour de lui les fleurs de la vie, comme ces lianes des forêts qui décorent le tronc des chênes de leurs guirlandes parfumées. »

Puis celle de Louis Aragon :

« L’avenir de l’homme est la femme. Elle est la couleur de son âme. Elle est sa rumeur et son bruit. Et sans elle, il n’est qu’un blasphème. »

Pensées impromptues de Michel Altian

– Dans la lutte perpétuelle entre le Bien et le Mal se situe l’homme : de quel côté fera-t-il pencher la balance ?

Vers le Mal ? vers le Bien ?

L’optimisme me fait dire vers le Bien car on peut guérir du mal par la conscience éclairée de ses actes tandis qu’on ne cherche pas à guérir du Bien. 

Publiée le 2024/07/22 

– La vie ne tient qu’à un fil, le fil de l’amour et l’amour de la vie.

Publiée le 01 08 2024

– Vivre ne se résume pas seulement à aimer mais le fait d’aimer résume à lui seul la vie.

Publiée le 2024/07/24 

– On passe son temps à vouloir aimer et être aimé.

On ne cherche pas à aimer, on aime ; on peut chercher à être aimé et chercher encore.

Publiée le 28 07 2024

Les grands de ce monde cherchent la fortune, mais trouvent-ils pour autant l’amour ?

Les petits quant à eux, se réconfortent de leur infortune  quand ils trouvent l’amour.

Publiée le 07 aout 2024

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Ode à la femme soumise d’un autre lieu ou d’un autre temps

Publié sur Fb le 25 novembre 2024

Femme de notre temps, peut-être femme d’un autre temps, 

Ne pourras-tu un jour sortir de ce carcan 

qui t’enferme malgré toi contre ta volonté

dans un monde sans vie où tu es oubliée.

Jamais dans la détresse tu ne pourras grandir. 

Pour devenir libre, devras-tu encore souffrir ?

Non jamais plus un homme digne de ce nom

ne devrait laisser faire et agir ses démons.

Car c’est bien de démons dont nous parlons ici.

Je parle bien de ceux qui donnent à l’homme ses torts 

Car, qui dit que c’est lui qui doit être le plus fort

Alors que c’est bien elle qui peut donner la vie !

Je veux croire qu’enfin il va se réveiller

pour rendre à la femme ce qu’elle a mérité

avant que cette dernière n’ose se rebiffer.

Il n’aurait plus alors que les yeux pour pleurer.

Michel Altian

Essai sur la condition féminine en quelques épisodes.

1 – Des générations de femmes ont cherché, cherchent et chercheront encore à ce que La femme soit l’égale de L’homme, à juste raison. Je voudrais cependant préciser ceci : la femme peut prétendre à  devenir l’égale de l’homme dans les droits et les devoirs, elle a même le droit de l’imposer, mais dans la complémentarité ! exemple basique : la femme n’a pas le physique de l’homme, (sauf exceptions) et à l’inverse, l’homme ne peut  pas porter et donner la vie et se doit donc de protéger celle qui le peut, se montrer digne d’elle en en faisant son égale. 

2 – Essai sur la condition féminine : deuxième épisode.

Les femmes commencent à espérer le devenir que depuis peu de temps grâce à la pugnacité de certaines.

Pourtant, ce n’est pas par un manque de femmes qui se sont illustrées dans de nombreux domaines ; je n’ose même pas citer quelques noms de peur d’en blesser d’autres. Combien se sont fait un nom dans le domaine de la médecine, de la politique, de la littérature, de l’art, ou encore  dans le domaine social et ont mérité le respect de leurs compatriotes, même si quelquefois les réticences étaient nombreuses. La liste des domaines dans lesquels les femmes ont brillé n’est pas exhaustive.    

3 – Essai sur la condition féminine : troisième épisode.

Pourquoi les femmes doivent-elles encore espérer disais-je auparavant ? simplement par le fait que, malgré les combats que les pionnières (et certains pionniers) ont menés depuis des décennies afin que certaines lois soient votées, elles n’ont pas été appliquées en réalité. 

Il suffit de regarder dans le monde du travail dans lequel les plus grandes injustices sont également les plus flagrantes. Et je ne parle pas seulement des inégalités de salaire ou de promotion mais  aussi du manque de considération des hiérarchies.

Mais heureusement, beaucoup œuvrent selon leurs possibilités pour que le monde bouge. Alors, à quand la reconnaissance ? 

4 – Essai sur la condition féminine : quatrième épisode. 

Pour terminer : il faut rapporter et souligner quelque chose de difficile à supporter à notre époque : 

La première difficulté rencontrée par les partisanes et partisans de l’égalité dans la complémentarité, ce sont certaines femmes elles-mêmes, celles qui subissent sans rien dire par peur de représailles à cause du machisme toujours présent dans notre société et qui doit disparaitre pour pouvoir progresser.

Beaucoup de mentalités doivent évoluer pour y parvenir.

La deuxième difficulté, et de loin la pire, est due aux femmes qui accordent du crédit à certaines doctrines ou idéologies et subissent volontairement leur sort en acceptant d’être dominées ou pire encore, réduites en esclavage par les hommes dans leur société purement machiste. La difficulté est grande … malheureusement !

Spin off d’un livre non encore édité

Ça existe tu sais Sonia, des hommes qui aiment leur femme, il n’y a pas que des égoïstes ou pire des féminicides ou des hommes violents qui battent leur compagne. Et si les choses commencent à changer pour que la femme puisse un jour arriver à être l’égale de l’homme, c’est bien parce que de plus en plus d’hommes que je qualifierais de justes soutiennent cette idée et militent activement. Et il n’y en a pas encore assez.

Parlons HUMANISME

Entre autres, dans mes romans l’humanisme tient une place de choix, alors voici : 

Ma vision de l’humanisme en quatre épisodes :

Épisode 1 : publié le 14/10/24

On peut trouver de nombreuses interprétations du mot  « humanisme » pour une définition historique qui est celle-ci : position philosophique qui met l’homme et les valeurs humaines au-dessus des autres valeurs (définition du Larousse)

Certains distinguent l’humanisme de l’humanitaire dont le but est d’améliorer la condition humaine.

Pour l’humaniste l’homme a évolué comme le reste des espèces vivantes et son bien-être est lié de facto à la survie des autres espèces.

Épisode 2 : publié le 15/10/24

Pour l’humaniste de la renaissance, l’éducation devait permettre à l’homme de créer une société plus juste basée sur le respect et la compréhension.

L’humaniste moderne milite pour une société également plus juste, respectueuse et démocratique, subtil distinguo.

Les humanistes se disent athées et croient que la science permet de tout expliquer et de tout comprendre.

À contrario, ils se hissent au niveau de Dieu par son intelligence et son pouvoir de création, ce qui peut paraitre antinomique avec le fait d’être agnostique.

Épisode 3 : publié le 16/10

Libre à mon tour d’avoir ma version de l’humaniste qui est un subtil mélange de ce qui vient d’être dit.

L’humaniste pur va lutter pour améliorer la condition humaine en prônant l’éducation, le respect et la compréhension de l’autre. Bien sûr, il utilisera la science en gardant en tête ce proverbe de Rabelais : « science sans conscience n’est que ruine de l’âme » qui signifie que la science doit être soumise à la moralité pour éviter les débordements, et cet autre du même auteur : « connaître autrui n’est que science ; se connaître soi-même, c’est intelligence. »

Épisode 4 : 

En définitif, l’humaniste de nos jours est donc bien humanitaire puisqu’il vise au bien de l’humanité, en pleine conscience qu’il en fait partie … en homme intelligent …

Réflexion inspirée par certaines recherches dans Wikipédia.

Quelques citations reprennent ce thème :

« La phrase de Socrate « Connais-toi toi-même » (reprise par Rabelais) nous invite à comprendre comment nous fonctionnons en faisant de notre pensée, de notre être et de notre réflexion un sujet d’interrogation. La démarche de compréhension de soi mène à la compréhension du monde. »

« Se connaitre soi-même est le début de la sagesse. »

« C’est une invitation à connaître sa condition, sa place dans le monde, entre les bêtes et les dieux, donc à déterminer ce à quoi le destin nous porte sans chercher à en dépasser les limites. »

Michel Altian auteur de Five – Livre I – La naissance du clan, disponible sur le site des Éditions Maïa.