Fiona et Peter Pan
J’ai 65 ans, eh oui déjà ! Le temps passe vite quand on lit, quand on écrit, quand on raconte des histoires… J’ai commencé toute petite pour m’inventer une autre vie et puis en grandissant je suis devenue bénévole auprès des enfants, des adolescents, des gens malades ou handicapés et mes histoires ont commencé à voyager. Aujourd’hui j’aimerais qu’elles voyagent plus loin encore, qu’elles amènent chez vous un peu de moi et de mon leitmotiv de chaque journée : Rire, Ecrire, Danser, Chanter, Raconter des histoires et Dormir ! Avec ça, chaque jour sera un bon jour.
Je vous propose d’être acteur et actrice de la naissance de mon livre en m’aidant à faire de sa parution prochaine, avec les Editions Maïa, un succès. Plus les préventes seront nombreuses, plus mon livre sera promu et diffusé. En retour, vous serez présents dans le livre en page de remerciements et vous recevrez le livre en avant-première, frais de port inclus !
Je suis une femme qui raconte des histoires. Du coup, pas la peine d’aimer la lecture pour me lire, il suffit d’aimer les histoires !
Les histoires qu’on raconte.
Les histoires qu’on partage.
Les histoires qui voyagent.
Les histoires qui touchent, qui font sourire, rire et pleurer même peut-être…
Les histoires qui restent…
« Fiona et Peter Pan » c’est comme une tablette de chocolat quand on aime ça : une fois ouvert, on a de cesse de le terminer… C’est un livre qu’on garde parce qu’on est sûr de le relire un jour, pour soi, pour les autres. On y découvre toujours, à la relecture, un mot, une phrase qui fait du bien… ou pas mais qui touche.
Et si en plus on aime la lecture alors, le temps s’arrête… et… « Fiona, petit bout d’chou en chaussettes et pyjama » vient remettre le temps en marche.
Écrit il y a 20 ans, ce livre a traversé le temps, est passé de mains en mains, même dans celles de maîtresses d’école. Lu ou raconté, le résultat a toujours été sans appel : tous l’ont lu ou écouté, tous ont été touchés, tous ont adoré, quels que soient leur âge, leur situation ou leurs goûts.
Touchant, émouvant, amusant, sensible et dramatique, il s’adresse à un public de tous âges. Parfois doux et heureux, parfois fort et prenant, parfois triste et profond sur fond de bonheur dans l’urgence.
L’histoire a jailli d’un moment dont j’ai été spectatrice, d’un moment de beauté et de paix, mon imagination a fait le reste. Cette histoire est magnifique et intemporelle. En effet « Fiona et Peter Pan » c’est nous, c’est vous et ça ne l’est pas. Loin d’être un livre réservé aux enfants, c’est l’amour, la joie, la douleur, la paix, la famille et la reconstruction…
Venez avec moi à la rencontre d’une famille unie et heureuse, malgré la maladie de la mère, en suivant le parcours de Fiona, une petite fille drôle et attachante, intelligente et inventive, qui va combiner son imaginaire avec celui de sa mère pour transformer ce qui aurait dû être pesant en une histoire douce, bercée par l’univers de Peter Pan…
J’aimerais vous faire découvrir mon Pays imaginaire…
Ce soir, Fiona est assise sur les marches de la terrasse avec son Tonton, il lui explique « la grande ourse, la petite ourse, la grande casserole… » Fiona rit, où donc tonton voit-il des ours et des casseroles dans le ciel ? Elle, elle n’y voit que des étoiles !
— Regarde, la seconde étoile, là, à droite, c’est le pays imaginaire, celui des enfants perdus, tu vois ?
Tonton sourit, Fiona se lève, caresse les cheveux de Tonton toujours assis, y dépose un bisou et entre dans le salon où papa travaille :
— J’ai montré le pays imaginaire à tonton !
— Tu as bien fait je ne crois pas qu’il connaissait ! — répond Papa en levant la tête de ses dossiers, il scrute le ciel. — Oh une étoile filante, vite, un voeu Titoune !
— Je souhaite que ma maman ne soit plus jamais malade !…
Quelque chose a changé dans la pièce il n’y a plus d’innocence d’un seul coup dans les yeux de la petite fille. Son frère, Nicolas, qui rentre du foot à cet instant, lui balance le ballon, Fiona rit et l’atmosphère redevient légère…
À l’hôpital, il est treize heures quand le docteur passe dire à Sam qu’elle peut sortir :
— Ah et elle pourra aussi dire à Fiona que Peter a bien fait son travail !
Maman sourit, les histoires de Peter-Pan et Fiona courent dans les couloirs de l’hôpital depuis longtemps.
À seize heures trente, Papa et Maman sont devant le grand portail blanc de la maternelle. La cloche carillonne, le coeur dans la poitrine de Maman s’accélère… Les portes des classes s’ouvrent sur une nuée de lilliputiens qui arrivent de toutes parts. Fiona en pleine discussion avec Manon, ne voit pas tout de suite sa maman.
— … Je t’assure Manon ! C’est vrai, oui oui, au pays ima…
La petite fille lève la tête, son regard croise celui de sa maman qui lui tend les bras. Elle se met à courir pour s’y jeter.
— Oh, ma maman d’amour ! Eh, c’est ma maman, il y a ma maman ! crie-t-elle à ses copains puis à Papa.
— Elle est là tu vois ? C’est ma maman ! Je t’avais dit que Peter la ramènerait !
Elle parle, parle sans discontinuer, elle raconte ce qu’elle a fait à l’école et que :
— Vincent, tu sais mon amoureux, et ben il n’est pas venu aujourd’hui, parce qu’il est malade, il est resté avec sa maman… Dis, je peux être malade moi aussi, demain ? Allez oui, dis oui… Elle gigote autour d’eux pleine de joie et de bonheur.
La vie reprend, jour après jour, Tonton vient souvent chercher Nicolas pour aller au foot, ils en profitent pour dîner ensemble et parler un peu.
— Tu vois Tonton… On a beau faire comme ci… Ne penser qu’au moment présent… Je sais bien que ça ne va pas durer très longtemps. Elle se fatigue de plus en plus, les traitements, les bilans… ça ne s’arrête jamais !
— Mais c’est peut-être pour l’aider à combattre la maladie… Tu ne sais pas…
— Ça, tu le dis à Fiona, à cinq ans elle croit qu’après tout ça, maman va vivre au pays imaginaire et c’est très bien pour elle… Mais moi, on ne me la fait pas, après la mort c’est le vide, le trou noir, pour elle comme pour moi. Tu comprends ? Je vais perdre ma mère !… — La voix de Nico se brise, il retient un sanglot. — Un homme ça ne pleure pas.
JP s’énerve un peu.
— Un homme, ça pleure quand ça souffre, un homme, ça pleure quand ça veut, qu’est-ce que c’est que ces conneries !
Nicolas relève la tête et sourit à travers ses larmes.
A Val-Thorens où ils sont pour Noël, Maman se lève en même temps que le soleil et, une tasse de thé à la main, allongée sur le transat, elle profite de la douceur et du cocon de la montagne enneigée… Papa apparaît, elle prend la main qu’il lui tend et se retrouve dans le nid douillet de ses bras… Le temps s’arrête une seconde… Ils s’aiment. Un petit bout de chou en pyjama et chaussettes vient remettre le temps en marche.
— Et moi un câlin ?
Fiona est éveillée, Nicolas suit sa soeur de près et à la vue du beau temps et des pistes qui les attendent, le voilà qui s’anime.
— Allez, allez, p’tit dej les gars, on n’a pas que ça à faire des câlins de bon matin !
Et tous éclatent de rire…
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Mon objectif est d’atteindre 990 € de pré-ventes afin de rendre possible la réalisation des maquettes, la correction, l’impression et la promotion. C’est pourquoi je fais appel à vous, auteurs, auteures, lecteurs, lectrices, amoureux et amoureuses des mots ! Votre précommande permettra à mon projet de devenir réalité grâce à une équipe de professionnels.