Fady Kambana
Ayant vécu à Madagascar, l’auteur s’inspire de l’expérience d’une jeune fille au pair malgache pour rendre hommage à l’île rouge, à son peuple et à ses traditions, tout en s’interrogeant sur le bien fondé de certaines coutumes séculaires.
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Fady Kambana est un roman d’apprentissage qui raconte l’entrée dans la vie adulte d’une jeune femme malgache. Aina rêve de quitter son île pour s’offrir un avenir meilleur en Occident. Prête à tout pour atteindre son objectif, elle parvient à lever un à un les freins pour franchir des frontières de plus en plus verrouillées voire hostiles et devient jeune fille au pair en France. Ayant vécu à Madagascar au début de son mariage puis reçu une jeune fille au pair originaire de ce pays une dizaine d’années après, l’auteur s’inspire de son vécu pour dépeindre le fossé et les ponts culturels qui sépare pour le premier et relient pour les seconds ses deux pays de cœur. Au-delà de la fiction, elle s’attache à décrire et dénoncer la réalité de “parcours de combattant” que vivent de nombreux jeunes africains pour atteindre leur “eldorado européen” et y rester, dans un contexte où le dissonant acronyme “OQTF” plane sur leur tête en épée de Damoclès contemporaine. Enfin, l’auteur a voulu rendre hommage à l’île rouge, à son peuple et à sa culture, tout en osant en dénoncer certains travers.
Parce qu’elle était née à Fianarantsoa, parce qu’elle avait la peau basanée, le nez épaté, les lèvres charnues et le cheveu crépu, parce qu’elle prononçait le chiffre 8 : « ouit », parce que,
tout simplement, son île appartenait à ce grand continent dédaigné à la forme de bonne poire, elle arriverait en France avec une série d’étiquettes tatouées sur le front. Audacieuse, elle ferait tout pour casser les stéréotypes, brique par brique. Mais la construction des amalgames est imperceptible. D’un mot inoffensif lâché en société, d’une image diffusée par les médias, d’une blague, d’une taquinerie, d’une réponse à un enfant, peut naître le virus du préjugé. D’abord isolé et donc inoffensif, il se répand si vite, sautant de cerveau à cerveau comme le variant Delta de naseau à naseau, qu’il finit par faire de son bouc émissaire le souffre-douleur public numéro un. Ce mot prononcé par inadvertance et ce reportage réalisé sans arrière-pensées ont creusé le sillon du racisme : dans son fossé ne coule pas toujours la rivière de la peur, mais le fossé est là, prêt à parer à l’inondation en cas de tempête.
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Les étapes de création
Mon objectif est d’atteindre 990 € de pré-ventes afin de rendre possible la réalisation des maquettes, la correction, l’impression et la promotion. C’est pourquoi je fais appel à vous, auteurs, auteures, lecteurs, lectrices, amoureux et amoureuses des mots ! Votre précommande permettra à mon projet de devenir réalité grâce à une équipe de professionnels. Votre appui me sera précieux et vous recevrez vos contreparties dès la fin de la campagne.