Hip Hop Art Legend Story
Je suis Jean-Marie Paul Beuve, aka Paolo ou JB, pour les intimes. Je suis le fondateur d’un collectif Hip-hop, intitulé le Mouvement-B. Je suis originaire de la Guadeloupe que j’ai quittée adolescent pour rejoindre ma famille et poursuivre mes études. Je découvre le Paris qui m’a totalement conquis notamment par les concerts de Jazz & Soul R’N’B disco et Pop Rock. Puis la culture Hip-hop débarque au sein de la capitale française, devenue deuxième grande Ville Hip-hop au monde.
Animé par un désir effréné et passionné d’en découdre avec l’envie de tout consommer avec voracité, c’est ainsi que j’ai pris le wagon du Hip-Hop de plein fouet, en pleine face. Et voyant qu’en France métropolitaine, qu’il n’y avait toujours pas d’ouvrages évoquant la véritable histoire de ce mouvement culturel, je me suis juré de le faire, pour ne pas en perdre sa dimension historique, jusqu’à sa source.
Je fais aujourd’hui appel à vous pour réaliser ensemble ce projet d’édition. Je vous propose de contribuer à la naissance d’un livre et de devenir partenaires de cette création. Votre nom en tant que contributeur sera présent dans le livre que vous recevrez en avant-première !
Hip Hop Art Legend Story
Tome I
L’originalité de se livre se situe dans sa chronologie historique, car elle tisse un lien fort entre le passé et l’actif du fait que la question centrale est essentiellement basée sur les origines traditionnelles africaines durant l’histoire moderne. Celles-ci, sont revisitées par leurs contemporains bien évidemment issus des afro-descendants déportés dans les terres amérindiennes devenues la nouvelle Amérique impérialiste responsable de bien des maux de la société américaine. D’où, la naissance de bien nombreux conflits sociaux-ethniques dont dépend cette révolution culturelle. Celle-ci étant elle-même reconnue comme une contre-culture concurrentielle aux deniers politiques.
Donc, l’objectif est de proposer un récit complet sur l’existence du mouvement Hip-Hop. Dans un souci de pédagogie factorielle, j’invite tous les individus de toutes les classes sociales à s’intéresser à cet ouvrage, car il s’inscrit dans une démarche collective et intergénérationnelle, sans aucune distinction de sexe et de race. Également pour faire le relais avec les liens du partage et ainsi que les nouvelles dynamiques culturelles et concurrentielles avec le monde politique qui nous entoure, partenaire de nos décisions, malgré nous. Et, surtout y trouver son inspiration personnelle et une ultime quête à la connaissance démentielle de notre environnement culturel et universel.
Introduction du chapitre II
« C’est à la suite de ce foisonnement culturel des années (50-60-70), qu’on voit émerger, dès 1970 et 1973, une moisson d’artistes contestataires, évoluant en bandes organisées, dans les rues de Harlem, du Bronx et du Queens de New York. Une jeunesse noire, vivant dans des rudes conditions et à la merci des ghettos, de Harlem et du Bronx, cultivant dans leur imagination, des possibilités, de redonner vie à leurs quartiers, gisants dans les affrontements, des gangs meurtriers. Les plus persuasifs et les plus hardis, avaient souhaité revaloriser, leur environnement social. Par des animations festives et musicales dans des discothèques, dans des parcs publics, les cours de récré des écoles primaires, de leurs immeubles et dans divers lieux insolites. Partout où ils pouvaient s’impliquer au sein d’une activité de divertissement, afin de redonner espoir à cette communauté en légère dispersion. S’investissant, dans toutes sortes de disciplines artistiques, tels que le : DeeJaying, Dancing, MCing, Graffitiying. Cette pratique qui consistait, à utiliser des disques platines en tandem, sur des techniques innovantes, scratchées, permettant aux disc-jockeys clubs de talents, de mettre en boucles des hits, Soul Pop, funky et disco, du top 50. En les remixant en guise de supports rythmiques, appelés Breaks beats. Pour faire danser, les tous premiers Break Dancer’s (B-Boys, pour les garçons et B-Girls, pour les filles). Nous sommes au début des années 1970 et on voit émerger dans la vie festive des habitants, des quartiers noirs de New York. Des personnages prêchent et iconoclastes, des musiciens animateurs de la vie sociale, poètes de rue, des joueurs de basketball de rue, des peintres urbains, les tous premiers disques Jockeys clubs, dans toutes les discothèques environnantes. Leurs principaux objectifs étaient de réconcilier une population dévastée par les gangs violents, à travers l’expression musicale. »
-
Les étapes de création
Mon objectif est d'atteindre 1 490 € de préventes afin de rendre possible la réalisation des maquettes, la correction, l'impression et la promotion. C'est pourquoi je fais appel à vous, auteurs, lecteurs et amoureux des mots ! Votre précommande permettra à mon projet de devenir réalité grâce à une équipe de professionnels. Votre appui me sera précieux et vous recevrez vos contreparties dès la fin de la campagne.