France, 2086. Aton, un employé ordinaire, voit sa vie basculer lorsqu’il découvre que ses souvenirs ont été manipulés. Entraîné dans les mystères d’un complot mondial, il rejoint malgré lui la Divergence, un mouvement de résistance clandestin. À leurs côtés, Aton devra affronter de nombreux dangers pour déjouer les plans d’un ennemi insaisissable. De Paris à New York, il tentera l’impossible pour sauver l’humanité d’un destin terrifiant.

Aux yeux du monde est un thriller futuriste haletant qui explore les thèmes de la manipulation mentale, de la surveillance de masse et de la quête de vérité dans un monde où la technologie règne en maître. Ce roman s’inspire d’œuvres comme 1984, Matrix et Black Mirror, tout en apportant une vision moderne et originale des enjeux technologiques de notre époque.
L’originalité du livre réside dans sa fusion de science-fiction, de thriller et de questionnements philosophiques sur la nature de la réalité et de l’identité. İl s’adresse aux amateurs de suspense, de science-fiction et à tous ceux qui s’interrogent sur l’impact des nouvelles technologies sur notre société.

En tant qu’auteur autodidacte passionné par de nombreux domaines, je souhaite partager cette œuvre qui reflète mes réflexions sur notre relation avec la technologie et ses potentielles dérives. Aux yeux du monde aspire à susciter une réflexion critique tout en offrant une aventure palpitante qui ne manquera pas de captiver les lecteurs.
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Aton observait prudemment la façade de l’immeuble, dissimulé par la foule compacte, à la recherche d’une inspiration, d’un plan pour pénétrer l’imposant bâtiment, lorsqu’il sentit soudain une main lourde et froide se poser fermement sur son épaule. « Veuillez me suivre, s’il vous plaît. », intima une voix artificielle et dénuée d’inflexion près de son oreille. D’un bref coup d’œil, il jaugea celui qui l’interpellait ainsi : il s’agissait d’un androïde de sécurité très moderne, de ceux qui possèdent un visage recouvert d’un masque en latex blanc reproduisant grossièrement des traits humains, mais ne parvenant pas à arborer d’expressions réellement naturelles malgré tous les progrès récents. Le corps imposant de l’agent était entièrement fait de métal noir, portant le logo doré de la tour Chauvel sur le torse, tandis qu’un brassard rouge vif indiquait sans équivoque qu’il faisait partie du service de protection. Son bras tendu désignait fermement la porte d’entrée, incitant Aton à pénétrer dans la tour sans discuter davantage. Celui-ci savait qu’il n’avait guère d’autre choix. Bien qu’officiellement programmés pour être totalement incapables de faire du mal à un être humain par leur conception même, ces robots étaient dotés d’une vitesse et d’une force herculéennes. S’il essayait de prendre la fuite ou de résister, l’androïde pourrait lui attraper le poignet en un éclair, pour ne plus le relâcher que sous la menace d’armes électriques. Pour l’heure, la décision la plus sage était donc d’obtempérer sans broncher aux ordres de la machine. Une fois à l’intérieur du bâtiment, peut-être aurait-il plus facilement l’occasion de se fondre dans la masse et de s’échapper, c’est du moins ce qu’espérait Aton tandis qu’il emboîtait docilement le pas au robot en direction des portes coulissantes automatiques. L’impressionnant sas d’entrée se referma lentement derrière eux dans un souffle métallique.