Alors, que la guerre sévit en Europe (Ukraine) et ailleurs, ce quarantième livre de Guy Créquie est un essai colossal, recherchant dans l’histoire de la pensée universelle, de la pensée laïque ou de diverses religions, de l’origine à nos jours, tout ce qui a trait à la guerre et à la paix, pour envisager l’avenir ! La guerre en Ukraine, déclenchée par la Russie, donne hélas une actualité à ce type d’ouvrage. Une conflit qui se mondialise et menace la paix mondiale.

L’auteur décortique également diverses formulations à propos de la guerre ou de termes sociétaux, avec leur réelle signification. A partir de l’histoire, il démontre que le plus souvent la guerre n’est pas un choix voulu et réfléchi des peuples, mais désiré par des dirigeants qui ont des aspirations hégémoniques à finalité idéologique, politique et économique.
Il aborde pour cela, un riche éventail de sujets, comme l’utilisation de l’I.A. (Intelligence Artificielle) par la Science, les violences scolaires et urbaines ou encore le malaise d’une partie de la jeunesse, etc.

Par ce livre évenement, Guy Créquie adresse aux Grandes Institutions internationales, son plan de paix durable, à partir de son expérience de messager de paix.

L’humanisme et ses diverses filiations à l’épreuve de la guerre par Guy Créquie

Le constat de guerres est-il inévitable ? Certains avancent l’hypothèse que certaines philosophies, civilisations et religions, favoriseraient les violences ? Cela est-il fondé ? Non, nous répond l’auteur.

La culture de la paix et ses pédagogies, adaptées aux âges et lieux, ne peuvent-elles pas progressivement irriguer les consciences ? Le mot guerre est de plus en plus accompagné d’adjectifs qui en diminuent la portée et la gravité : est-ce légitime ?
La résolution des conflits avant d’être régionale, étatique, interétatique, ou entre civilisations passe d’abord par l’échelon de la famille, des contextes professionnels, des problématiques de genre, d’ethnies, etc.
Certes, il y aura toujours des maux à combattre, des contradictions à résoudre, des ambitions de réussite et de pouvoir, où la fin justifie les moyens à contrôler. En cela, être homme ou femme est un défi sans fin.
Néanmoins, la guerre est-elle la seule perspective pour résoudre les tensions ou les conflits ?

Dans un conflit, pourquoi ne pas privilégier la négociation avec le dépassement par la créativité plutôt que la victoire d’un camp ? C’est ce que suggère un éminent pionnier de la recherche pour la paix, le Professeur Johan Galtung.

Extrait de la préface, rédigé par Jacques Bruyas, Président de l’Association internationale des écrivains et auteurs francophones, Président de l’Union des Écrivains Auvergne Rhône Alpes

Guy Créquie, observateur social, écrivain et auteur de 40 livres

• Messager de la culture de la paix par l’UNESCO ;
• Représentant français d’ONG internationales de paix et d’harmonie ;
• Représentant européen de la Commission diplomatique mondiale des éducateurs pour la paix affiliée à l’ONU ;
• Lauréat de l’Académie Européenne des arts ;
• Docteur Honoris Causa par l’Académie mondiale de la culture et des arts ;
• Membre de l’Association internationale des artistes et auteurs ;
• Médaille d’or par la société académique française « Arts-sciences-Lettres », couronnée par l’Académie française.