Le désordre des choses
Passionnée par les arts, j’ai rencontré de nombreux artistes : poètes, musiciens, peintres avec lesquels j’ai partagé la passion des mots, des notes et des couleurs qui, souvent, s’introduisent dans mes textes.
J’aime me confronter à toutes les formes littéraires : romans, nouvelles, poèmes, essais et autres comme en témoigne mon blog et j’ai plaisir à manier toutes les tonalités.
Le désordre des choses orchestre des rencontres singulières entre des personnages étonnants : un défi devenu nécessité.
Pour réaliser ce projet, les Éditions Maïa mettent en avant des outils permettant une promotion de la culture : j’ai besoin de votre soutien pour le mener à bien. Ainsi, vous participerez à cet évènement et recevrez en avant-première l’ouvrage. Frais de port inclus. En tant que partenaire, votre nom y figurera. Merci à vous et bonne lecture.
Au centre de ce roman, un trompe-l’œil mural autour duquel gravitent six personnages qu’ils vivent à Paris ou en province.
Des rapprochements, nullement hasardeux, dans un monde, le nôtre, où règne le désordre ; ils s’interrogent sur la réalité de la vie, la fiction, sur leur passé, le temps, l’avenir, sur nous !
Au fil des événements, Jeanne les accueille tour à tour. Fragilisé, Yvain éprouva un amour fou pour la femme en rouge de la mosaïque. Talia qui posa pour l’artiste, réalise désormais des courts métrages. Anne, une journaliste de retour d’exil, lui ressemblerait… Vence photographie l’univers pour s’y fondre. Ariane, peut-être à l’origine de ces rencontres, disparaît.
Extrait – Prologue
Vence, une bombe de peinture noire à la main balafre le trompe-œil du mur : une déclaration, une giclée.
« Je déteste la facilité, la médiocrité, la suffisance, la morgue, la vulgarité. Je déteste ceux qui savent ou qui prétendent savoir ou qui croient savoir. Je déteste les philosophes qui sortent des banalités sous forme de syllogismes ou de blablatismes. Je déteste les économistes qui nient les menaces climatiques et ricanent aux mots arts et culture. Je déteste les jeunes atteints de jeunisme. Je déteste les charognards déjà repus, vautours et condors qui tournent au-dessus de nos têtes.
Je déteste les anglicismes et les Français qui bradent leur langue, recourant à ce jargon appauvri tant pour l’essentiel que pour les chansons qu’ils répètent comme des perroquets déplumés ou sur les inscriptions qui barrent leurs poitrines ignorantes.
Je déteste les réseaux qui isolent. Je déteste les organismes qui envoient des SMS ou des courriels invasifs et dictatoriaux auxquels on ne peut répondre.
J’enrage face à l’insensibilité de quelques-uns et déplore l’émotion qui me submerge devant l’altruisme de quelques autres. Je déteste les tiédasses.
Je déteste ceux qui me détestent ou m’ignorent.
Je déteste Yvain qui m’a incité à aimer une femme imaginaire. Je regrette le vol du trompe-l’œil à la femme en rouge et le vandalisme que j’accomplis sur celui-ci : celui des livres.
Je me déteste. »
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Les étapes de création
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